This background note for the development of an AIS Investment Sourcebook provides a menu of tools and guidance to invest in agricultural innovation in different contexts. The content is drawn on tested good practice examples and innovative approaches with emphasis on lessons learned, benefits and impacts, implementation issues, and replicability
In line with the government of Mozambique’s strategies, this document proposes an innovative model with high promise to develop value-adding market led post-harvest processing enterprises and to transform the post harvest-processing sector in Mozambique, while creating sustainable jobs and increasing incomes. The challenge is to ensure coordination across value chains to guarantee that the right conditions are in place for making the Agribusiness Innovation Center (AIC) a success.
Tanzania has tremendous potential to support a thriving agribusiness sector. Agriculture is diverse and extensive, employing more than 80 percent of the population, and contributing about 28 percent of Gross Domestic Product, or GDP and 30 percent of export earnings. A wide range of agricultural commodities are produced in Tanzania, including fiber (sisal, cotton), beverages (coffee, tea), sugar, grains (a diverse range of cereals and legumes), horticulture (temperate and tropical fruits, vegetables and flowers) and edible oils.
The international workshop on Agricultural Innovation Systems in Africa (AISA) was held in Nairobi, Kenya, on 29–31 May 2013. Its main objectives were to learn jointly about agricultural innovation processes and systems in Africa, identify policy implications and develop policy messages, and explore perspectives for collaborative action research on smallholder agricultural innovation.The workshop focused on sharing experiences in trying to understand and strengthen multi-stakeholder innovation processes and the role of smallholders in innovation, and identifying and discussing priorities an
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.
Une analyse de trajectoires d’innovations agricoles au Bénin observées dans la longue durée permet d’en identifier les facteurs de diffusion à grande échelle. Beaucoup d’innovations passent inaperçues sur de longs tronçons de leur trajectoire, étant endogènes ou impliquant des acteurs non « conventionnels » et pas d’organisations de recherche. Les innovations qui passent à grande échelle sont en fait des faisceaux d’innovations technologiques, institutionnelles ou organisationnelles qui s’enchaînent les unes en réponse aux contraintes des autres.
L’agriculture familiale est l’une des formes d’organisation de l’agriculture à travers le monde. Elle se décline en fait en une multiplicité de types concrets repérables au niveau des exploitations agricoles .
Le Tuy, province de l'Ouest du Burkina Faso est une région soudanienne à forte pression démographique et pastorale où se posent avec acuité des problèmes de fertilité des sols. Face à la dégradation des ressources naturelles, opter vivre dans son milieu natal et s'assurer une bonne production agropastorale nécessite de la part des acteurs des actions concertées. Le projet Fertipartenaires aide les producteurs de cette province à se concerter, à réfléchir à leurs problèmes, proposer et expérimenter des solutions et les évaluer afin d'améliorer leur sécurité alimentaire.
FAO and the Centre de Cooperation Internationale pour la Recherche et le Developpement Agricole (CIRAD) organized an expert consultation workshop on developing a methodology for assessing agricultural innovation systems. The meeting was held on 13–15 June 2018 at CIRAD Headquarters in Paris. It brought together 30 experts from academia, research, extension, the private sector, development agencies and government representatives.
Depuis sa création, le Parc national du Mont Péko est sujet à diverses pressions anthropiques. Ces pressions ont été accentuées durant les conflits armés en Côte d’Ivoire entre 2002 et 2011. L’intensification des pressions aurait entraîné une augmentation du taux de déforestation dans le parc. Pour vérifier cette hypothèse, la présente étude visait à déterminer l’effet des conflits sur la dynamique forestière du parc. À cet effet, quatre images satellitaires Landsat ont été analysées pour examiner les changements d’occupation des sols avant, pendant et après les conflits.