Participatory forest management is credited for supporting social learning processes and fostering capacity of forest users for collaboration and collective actions. Despite more than a decade of practice, the empirical evidence substantiating the contribution of participatory management for the capacity development of forest users is scarce. This study assesses a participatory forest management program in Madhupur Sal forest, Bangladesh, by comparing the capacity of de-facto groups of participants and nonparticipants and identifies factors that influence the capacity development.
A complex systems approach to innovation provides rich insights into the drivers, barriers, and key elements for innovation in rural systems. Through a case study of dry direct seeding (DDS) in smallholder systems in Laos, this article reveals a “perfect storm” of challenges and opportunities resulting in rapid adoption. Labour shortage, climate variability, and machinery availability are key factors.
This article presents a multi-stakeholder framework for intervening in root, tuber, and banana seed systems and in other VPCs. These crops are reproduced not with true seed but with vegetative planting material (e.g., roots,tubers, vines, stems, and suckers), called “seed” in this article. Seed systems for VPCs need to be designed differently than those for true seed, and coordination among stakeholders in seed systems is crucial
Invasive species such as Ambrosia (an annual weed) pose a biosecurity risk whose management depends on the knowledge, attitudes and practices of many stakeholders. It can therefore be considered a complex policy and risk governance problem. Complex policy problems are characterised by high uncertainty, multiple dimensions, interactions across different spatial and policy levels, and the involvement of a multitude of actors and organisations. This paper provides a conceptual framework for analysing the multi-level and multi-actor dimensions of Ambrosia management.
Agricultural policies in sub-Saharan Africa have paid insufficient attention to sustainable intensification. In Uganda, agricultural productivity has stagnated with aggregate increases in crop production being attributed to expansion of cultivated land area. To enhance sustainable crop intensification, the Ugandan Government collaborated with stakeholders to develop agricultural policies using an evidence-based approach. Previously, evidence-based decision-making tended to focus on the evidence base rather than evidence and its interactions within the broader policy context.
La Tunisie cherche à réorienter ses politiques d'Aménagement et de conservation des eaux et des sols (ACES) afin qu'elles gagnent en efficacité, en s'appuyant sur des démarches participatives innovantes. Cette orientation s'inscrit dans des contextes ruraux souvent peu documentés où la dimension environnementale nécessite d'être objectivée. De plus, il existe peu d'espaces de dialogue et de concertation entre les principales catégories d'acteurs des espaces ruraux concernés.
Le renforcement des capacités à innover apparaît comme un nouveau moyen pour assurer un développement durable dans les pays du Sud. Dans le secteur de l'agriculture, l'innovation est essentiellement collective, ce qui appelle les chercheurs à sortir de leur rôle de producteurs de connaissances pour s'engager auprès des acteurs en situation d'innovation. Si une diversité de pratiques de recherche engagée sont apparues, il n'existe cependant pas aujourd'hui une vision claire des différentes façons dont les chercheurs contribuent à l'innovation.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.
La R&D agricole considère aujourd’hui les innovations de terrain comme des sources d’idées et de références pour améliorer durablement les modes de production. La « traque de systèmes innovants » et l’évaluation de ces systèmes pour définir les plus performants du point de vue économique et agrienvironnemental nécessitent cependant un travail de mise au point méthodologique, auquel cet article vise à contribuer.
L’exploitation agricole familiale des oasis occidentales du Sahara algérien évolue dans un contexte de difficultés lié au déclin des ressources en eau (amenée par les galeries des foggaras) au faible revenu tiré de l’agriculture et à la diversification des activités, au profit de celles non agricoles, plus rémunératrices. À ces facteurs s’ajoutent les effets d’une atomisation de la propriété agricole oasienne, due à l’indivision foncière en rapport avec l’accroissement démographique.