During May 2010 the International Centre for Tropical Agriculture (CIAT) hosted two events related to knowledge management (KM): The Knowledge Share Fair for Latin America and the Caribbean, funded by the Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO), and a regional meeting of the Knowledge Management for Development (KM4Dev) community. The Fair was attended by 200 professionals from more than 70 organizations and 18 countries and showcased more than 40 experiences related to KM in agriculture, development and food security.
An 'Outcome Mapping' approach was applied retrospectively to five diverse, highly collaborative research projects aimed at poverty reduction. Designed to help plan for, clarify, and document intended and actual changes in behaviour, actions, and relationships of groups and organisations that directly influence a project's intended beneficiaries, Outcome Mapping enabled the authors to identify and describe the strategies and actions that played important roles in the innovations achieved.
Recent experiences in participatory video-making raise the question of how best to use this medium for enhancing local seed innovation systems. Embedded in a mini-process of participatory action research, two styles of participatory video—scripted and scriptless—were tested and assessed together with farmers and facilitators in Bogra District, Bangladesh.
This paper presents an overview of current opportunities and challenges facing efforts to increase the impact of rural and agricultural extension. The starting point for this analysis is in recognition that the days when agricultural extension was synonymous with the work of public sector agencies are over.
This review aims to identify key issues and opportunities needed to bring current Agricultural Education and Training (AET) systems up to the needed capacity. This paper first looks at the opportunities identified in the preliminary research. Next the paper looks at some of the many pitfalls learned from previous AET work that should be avoided moving forward. Lastly the paper gives a brief explanation for some of the key areas that the preliminary research identified as requiring further research and study in a modern day context.
Nous étudions le processus de transfert politique selon lequel les idées et valeurs du développement durable, mûries et véhiculées au niveau international, donnent lieu au niveau national à une recomposition des modes publics d’intervention en milieu rural. Au Mali et à Madagascar, les politiques de développement durable recouvrent des expressions différentes. Nous interprétons ces différences par une analyse comparative des stratégies des acteurs intervenant dans le jeu politique. Nous montrons que ces stratégies renvoient à des processus historiques.
La innovación es una condición fundamental para un crecimiento económico sostenido, que reduzca las disparidades sociales existentes en el país y permita un uso sustentable de sus recursos naturales.
En 2006, un rapport de la FAO pointait du doigt l’élevage comme l’un des principaux responsables du réchauffement climatique. Si la viande semble donc bien sur le gril, faut-il pour autant tous devenir végétariens ? Dans les pays du Sud, l’élevage a une grande importance socio-économique. L’élevage est la ressource principale pour plus d’un milliard de paysans pauvres. C’est essentiellement le Nord, avec en moyenne 80kg de viande consommée par habitant et par an, qui contribue aux 18 % d’émissions de gaz à effet de serre dues à l’élevage.
L’Assemblée générale des Nations unies a annoncé que 2010 est l’Année internationale de la biodiversité. Alors que l’humanité commence seulement à tenter de résoudre les dégâts provoqués par le réchauffement climatique, la perte de la biodiversité engendrée par les activités humaines est encore plus destructrice pour la planète ! Pour les populations rurales et les paysans du Sud, la préservation de la biodiversité est vitale. Comme le dit Patrick Ten Brink, directeur de l’Institut européen des politiques environnementales : » Les écosystèmes sont le PIB des pauvres en milieu rural ».
Des investisseurs publics et privés, nationaux ou étrangers, lancent des programmes d’acquisition, de location ou d’utilisation contractuelle de terres agricoles dans des pays disposant de ressources foncières bon marché, où le marché foncier relève généralement de l’État (Afrique, Asie centrale, Amérique du Sud). Cette tendance s’est accélérée à la suite de la crise alimentaire du printemps 2008, puis de la crise fi nancière. Selon la FAO, entre 20 et 30 millions d’hectares de terres auraient fait l’objet de transactions ces dernières années.