The CGIAR Research Program on Aquatic Agricultural Systems (AAS) is a research in development program which aims to foster innovation to respond to community needs, and through networking and social learning to bring about development outcomes and impact at scale. It aims to reach the poorest and most vulnerable communities that are dependent upon aquatic agricultural systems. AAS uses monitoring and evaluation to track progress along identified impact pathways for accountability and learning.
Du fait de leur transversalité et de leur objet, l'évaluation des politiques de développement territorial ne peut pas s'appuyer sur les outils utilisés pour évaluer les politiques sectorielles. Les questions procédurales sont très largement dominantes, les dispositifs portant essentiellement sur la gouvernance et la coordination. Pour évaluer une démarche procédurale, il convient de préciser le référentiel d’évaluation à la fois en termes du quoi et du comment évaluer.
Les notions de services environnementaux et de services écosystémiques (SE) ont connu un rapide engouement au cours de la dernière décennie et sont à l’origine de nouveaux instruments pour faire face à divers problèmes environnementaux, notamment la déforestation : les dispositifs de Paiements pour Services Environnementaux (PSE). Néanmoins, l’intégration du concept dans les politiques publiques reste un processus rare.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
This working paper represents work‐in‐progress of the CBFC project (Community‐based Fish Culture in Seasonal Floodplains and Irrigation Systems), a research project supported by the Challenge Program on Water and Food (CPWF), with the aim of increasing productivity of seasonally occurring water bodies through aquaculture.The project has been implemented in Bangladesh, Cambodia, China, Mali and Vietnam, where technical and institutional options for community based aquaculture have been tested. The project began in 2005 and was completed in March 2010.
This brief provides an overview of the monitoring and evaluation (M&E) system of the CGIAR Research Program on Aquatic Agricultural Systems (AAS) and describes how the M&E system is designed to support the program to achieve its goals. The AAS program aims to improve the lives of 22 million people dependent upon aquatic agricultural systems by 2024 through research in development.
Based on eleven case studies from Africa, Asia, and Latin America, this report describes farmer-led research findings and their dissemination, and analyzes available evidence on the impact of farmer-led approaches to agricultural research and development on rural livelihoods, local capacity to innovate and adapt, and influence on governmental institutions of agricultural research and development.
Innovation Platforms in the Aquaculture Value Chain in Egypt was presented at the National Aquaculture Innovation Platform Workshop, Cairo, 19-20 February 2014. It is a CGIAR Research Program on Livestock and Fish that aims to increase the productivity of small-scale livestock and fish systems in sustainable ways, making meat, milk and fish more available and affordable across the developing world.
En Europe, depuis trois décennies, la prise en compte des enjeux environnementaux dans les politiques agricoles se traduit, en partie, par la conception de Mesures agrienvironnementales (MAE), visant à promouvoir le changement de pratiques. En France, ces mesures ont été mobilisées dans différents modèles de contrats avec les agriculteurs, passant d’un paradigme basé sur la subvention de la multifonctionnalité d’une exploitation agricole à une compensation des surcoûts liés à l’adoption de nouvelles pratiques plus vertueuses au niveau des parcelles.
Cet article aborde la mise en place d’un projet d’agroforesterie villageoise, pour la gestion intégrée des ressources naturelles, dans le hameau de Duale Mitterrand (52 ménages) situé sur le plateau des Batéké (République démocratique du Congo). Il repose sur un travail de terrain effectué entre février et mai 2012 dans le cadre du mémoire de fin d’études du master en sciences et gestion de l’environnement de l’Université Libre de Bruxelles (ULB).