This paper explores the use of actor-oriented approaches in natural resource-based development. It begins by reviewing the need to bring an analysis of actor linkages, coalitions and information flows higher on the agenda in planning, implementation, monitoring and evaluation. Various tools which could assist in doing this are introduced and their use is illustrated in case studies of natural resource-based research and development (R&D) projects in Nepal and Bangladesh.
En Europe, depuis trois décennies, la prise en compte des enjeux environnementaux dans les politiques agricoles se traduit, en partie, par la conception de Mesures agrienvironnementales (MAE), visant à promouvoir le changement de pratiques. En France, ces mesures ont été mobilisées dans différents modèles de contrats avec les agriculteurs, passant d’un paradigme basé sur la subvention de la multifonctionnalité d’une exploitation agricole à une compensation des surcoûts liés à l’adoption de nouvelles pratiques plus vertueuses au niveau des parcelles.
Cet article aborde la mise en place d’un projet d’agroforesterie villageoise, pour la gestion intégrée des ressources naturelles, dans le hameau de Duale Mitterrand (52 ménages) situé sur le plateau des Batéké (République démocratique du Congo). Il repose sur un travail de terrain effectué entre février et mai 2012 dans le cadre du mémoire de fin d’études du master en sciences et gestion de l’environnement de l’Université Libre de Bruxelles (ULB).
Du fait de leur transversalité et de leur objet, l'évaluation des politiques de développement territorial ne peut pas s'appuyer sur les outils utilisés pour évaluer les politiques sectorielles. Les questions procédurales sont très largement dominantes, les dispositifs portant essentiellement sur la gouvernance et la coordination. Pour évaluer une démarche procédurale, il convient de préciser le référentiel d’évaluation à la fois en termes du quoi et du comment évaluer.
Les populations rurales sédentaires de la commune de Hombori (Mali) pratiquent presque toutes la culture de mil associée au petit élevage non transhumant. Au-delà des contraintes environnementales d’une région semi-aride, le maintien de l’agro-élevage repose sur une double maitrise, des territoires et des ressources, l’une et l’autre ne pouvant se confondre.
Les notions de services environnementaux et de services écosystémiques (SE) ont connu un rapide engouement au cours de la dernière décennie et sont à l’origine de nouveaux instruments pour faire face à divers problèmes environnementaux, notamment la déforestation : les dispositifs de Paiements pour Services Environnementaux (PSE). Néanmoins, l’intégration du concept dans les politiques publiques reste un processus rare.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
This report is concerned with the ‘who?’ ‘what?’ and ‘how?’ of pro-poor extension. It builds on the analytical framework proposed in the Inception Report of the same study (Christoplos, Farrington and Kidd, 2001), taking it forward by fleshing out the analysis with empirical information gathered from several countries during the course of the study (from primary data in Bolivia, Colombia, Nicaragua, Uganda and Vietnam, and from secondary sources in a range of other countries, including India), and drawing conclusions on the scope for action by governments and donors in a range of contexts.
The paper explores the implications of rural livelihood diversity for agricultural innovation policies. It summarises literature on the nature of rural poverty, with particular emphasis on the relative roles of farm and non-farm income. It also reviews the various roles, direct and indirect, that agricultural innovation can play in rural poverty reduction. Finally, it uses an agricultural knowledge and information systems (AKIS) perspective to argue for a differentiated approach to targeting agricultural innovations, based on an analysis of rural assets.
Presented at the ‘Building Livelihoods Resilience in a Changing Climate’ conference, Kuala Lumpur, 3-5th March 2011, this paper focuses on the Local Adaptive Capacity framework (LAC), developed under the Africa Climate Change Alliance Project (ACCRA), as an innovative initiative that attempts to move towards a better understanding of its core features through isolating five characteristics of adaptive capacity. Demonstrated through findings from field research across three African countries (Ethiopia, Mozambique and Uganda), this paper argues that frameworks for understanding and supporting