This paper explores the use of actor-oriented approaches in natural resource-based development. It begins by reviewing the need to bring an analysis of actor linkages, coalitions and information flows higher on the agenda in planning, implementation, monitoring and evaluation. Various tools which could assist in doing this are introduced and their use is illustrated in case studies of natural resource-based research and development (R&D) projects in Nepal and Bangladesh.
Dans les régions laitières et bocagères, les exploitations agricoles sont souvent considérées comme les unités élémentaires de structuration de l’espace et du paysage rural. L’étude des logiques d’organisation des pratiques des agriculteurs apparaît ainsi comme une grille d’analyse pertinente des dynamiques de transformation de ces espaces et de ces paysages. Dans les exploitations laitières de l’Ouest Atlantique, les facteurs liés à la morphologie parcellaire (pulvérisation spatiale des parcelles, surface de l’exploitation) jouent un rôle prépondérant.
Les grandes exploitations agricoles créées dans le cadre de la loi de mise en valeur agricole de 1983 dans le Sahara algérien étaient vouées à une production céréalière sous pivot. L’objectif était de développer économiquement des régions sahariennes pour partie marginalisées, ainsi que de réduire la dépendance chronique en céréales du pays. L’État a considérablement investi pour équiper ces exploitations agricoles dans le cadre d’un vaste plan de développement rural. Mais trente ans après la parution de la loi, les réalisations demeurent limitées au regard des objectifs initiaux.
Inscrites sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco pour leur témoignage des techniques préhispaniques d’agriculture sur l’eau, les chinampas de Xochimilco sont le dernier grand espace non urbanisé de la ville de Mexico. Le site est le support d’une multitude de fonctions dont la promiscuité engendre inévitablement des tensions entre les acteurs. Localisées au cœur de la capitale, les chinampas subissent également les effets de la pression urbaine qui tend à concurrencer spatialement les autres activités et à accentuer les dégradations environnementales.
L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.
L’Agriculture de Conservation est un système s’inscrivant dans la démarche de l’agroécologie, fondé sur le non-labour, la couverture permanente du sol par des végétaux et des rotations longues et diversifiées. Le système vise à améliorer la productivité sur le long terme en respectant les services écosystémiques générés par l’activité biologique du sol et la matière organique qu’il contient. Les techniques de non-labour se sont développées sur le continent américain et en Australie. Elles prennent à présent de l’ampleur en Europe.
Au sud-est de la commune de Djougou, les eaux de surface à usage pastoral se raréfient depuis les années 1990. Pour en comprendre l’ampleur et les raisons, nous avons développé un outil permettant une analyse socio-spatiale et socio-environnementale, à l’échelle du finage de deux villages, des dynamiques des ressources, de leurs usages et des stratégies d’accès développées par les populations : un SIG « à dires d’acteurs » associant sur le même support une cartographie classique (réseau hydrographique, forêts, voies de communication, villages, etc.) et l’expertise des populations locales.
This report is concerned with the ‘who?’ ‘what?’ and ‘how?’ of pro-poor extension. It builds on the analytical framework proposed in the Inception Report of the same study (Christoplos, Farrington and Kidd, 2001), taking it forward by fleshing out the analysis with empirical information gathered from several countries during the course of the study (from primary data in Bolivia, Colombia, Nicaragua, Uganda and Vietnam, and from secondary sources in a range of other countries, including India), and drawing conclusions on the scope for action by governments and donors in a range of contexts.
The paper explores the implications of rural livelihood diversity for agricultural innovation policies. It summarises literature on the nature of rural poverty, with particular emphasis on the relative roles of farm and non-farm income. It also reviews the various roles, direct and indirect, that agricultural innovation can play in rural poverty reduction. Finally, it uses an agricultural knowledge and information systems (AKIS) perspective to argue for a differentiated approach to targeting agricultural innovations, based on an analysis of rural assets.
Presented at the ‘Building Livelihoods Resilience in a Changing Climate’ conference, Kuala Lumpur, 3-5th March 2011, this paper focuses on the Local Adaptive Capacity framework (LAC), developed under the Africa Climate Change Alliance Project (ACCRA), as an innovative initiative that attempts to move towards a better understanding of its core features through isolating five characteristics of adaptive capacity. Demonstrated through findings from field research across three African countries (Ethiopia, Mozambique and Uganda), this paper argues that frameworks for understanding and supporting