Esta obra se base en los conocimientos y las experiencias de un grupo de administradores y evaluadores de 12 organizaciones, tanto nacionales como internacionales, que llevaron a cabo una serie de estudios de evaluación en Bangadesh, Cuba, Ghana, Nicaragua, Filipinas y Vietnam.
Les échanges commerciaux sur le marché mondial s’accélèrent. On constate l’émergence de nouveaux acteurs ainsi que l’intensification des rapports Sud-Sud. Ces caractéristiques peuvent-elles modifier la face de la mondialisation et ouvrir de nouvelles formes de négociation aux filières agricoles du Sud ? Les ONG et autres associations à but non lucratif ne seraient en tous les cas plus les seules à défendre la durabilité et l’agriculture familiale. Mais alors, quel est le rôle de ces ONG ?
On ne peut pas s’intéresser au monde rural sans parler des organisations paysannes (OP). Acteurs clés du développement rural, les OP sont des maillons importants entre le paysan et SOS Faim. Dans ce numéro, nous nous intéressons aux OP africaines car en Amérique latine, les regroupements de producteurs se manifestent davantage sous la forme de coopératives.
Depuis une dizaine d’années, SOS Faim développe avec ses partenaires latino-américains, une nouvelle stratégie pour endiguer la pauvreté rurale : le développement territorial rural (DTR). On peut définir le DTR comme étant une dynamique d’animation et de concertation entre acteurs publics et privés (entre autres les Organisations Paysannes) sur un territoire donné, en vue d’améliorer durablement les conditions économiques et sociales de sa population.
Depuis quelques années, en Afrique de l’Ouest, les institutions régionales et leurs bailleurs de fonds reconnaissent aux systèmes de stockage alimentaire de proximité un rôle à jouer dans la sécurité alimentaire et dans la régulation des marchés. L’appui aux stocks de proximité, considérés comme la première ligne de défense en cas de crise alimentaire, est explicitement retenu dans la stratégie de stockage de la CEDEAO, de même que le renforcement des capacités de collecte, de stockage et de mise en marché des organisations de producteurs dans une perspective de régulation du marché.
With the rapid pace of climate change and its impact on food security and livelihoods, climate-smart agriculture is one strategy aiming to help farmers adopt more sustainable farming practices. This study looked at farmers’ adoption of agricultural innovations and the role of social networks in the process.
The purpose of this paper is to summarize the challenges and the practical successes that a selected number of countries are experiencing in moving towards 'climate-smart' agriculture while also meeting the food requirements of a growing population, broader economic development and green growth objectives. It complements papers prepared in 2010 on technologies and policy instruments, research, and farmers' perspectives.
Farmers in Asia like to grow cassava because the crop will tolerate long dry periods and poor soils, and will produce reasonable yields with little inputs. Most farmers realize, however, that cassava production on slopes can cause severe erosion, while production without fertilizer inputs may lead to a decline in soil productivity. Research has shown that cassava yields can be maintained for many years with adequate application of fertilizers, and that there are various ways to reduce erosion.
This booklet is the third in the CIAT in Asia Research for Development series. It was based on the experiences of researchers and farmers working with the AusAID-funded Forages for Smallholders Project (FSP) in Southeast Asia from 1995 to 1999. This project was a partnership of smallholder farmers, development workers and researchers who were using participatory approaches to developing forage technologies on farms.
This paper evaluated the implementation of an initiative for promoting risk-based approaches to improve food safety management in Vietnam. A Taskforce of Risk Assessment for Food Safety (Taskforce) was formed and consisted of researchers working on risk assessment and food safety, and representatives of the related ministries of Health and of Agriculture. We used the OECD Development Assistance Committee Evaluation Criteria as a framework for assessing the impact of the Taskforce with five evaluation areas – relevance, effectiveness, efficiency, impact and sustainability.