The COVID-19 pandemic has elevated the importance of agriculture in the Pacific Islands for food security and economic development. The crisis has underscored the crucial role of domestic food systems to provide resilience to shocks, livelihood options, self-sufficiency, and insurance against food and nutrition insecurity. However, remoteness from international markets, populations dispersed across many small islands, heightened vulnerability to climate change, and natural resource constraints pose significant challenges for adapting food systems to cope with the impacts of COVID-19.
Le présent rapport concerne l’évaluation finale du projet «Intégration de la résilience climatique dans la production agricole et pastorale pour la sécurité alimentaire dans les zones rurales vulnérables à travers l’approche des champs-écoles des producteurs» (GCP/NER/043/LDF) financé par le Fonds pour l’environnement mondial (FEM) et exécuté conjointement par l’Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Gouvernement du Niger de 2015 à 2021.
This paper outlines key areas of intervention that are identified as the core of FAO's strategy on strengthening Agricultural Innovation Systems (AIS) across multiple areas of work (e.g. research and extension, agroecology, biotechnology, green jobs, resourcing etc.) for achieving sustainable rural development.
This paper is the Report of the 25th Session of the Committee on Agriculture (COAG), held in Rome on 26-30 September 2016.
The Committee on Agriculture is one of FAO’s Governing Bodies providing overall policy and regulatory guidance on issues relating to agriculture, livestock, food safety, nutrition, rural development and natural resource management. Established in 1971, the Committee has over 100 Member Nations and generally meets every two years, but may hold additional sessions if needed.
Global agriculture will face multiple challenges over the coming decades. It must produce more food to feed an increasingly affluent and growing world population that will demand a more diverse diet, contribute to overall development and poverty alleviation in many developing countries, confront increased competition for alternative uses of finite land and water resources, adapt to climate change, and contribute to preserving biodiversity and restoring fragile ecosystems.
L’agriculture familiale est de loin la forme d’agriculture la plus répandue au monde, tant dans les pays développés que dans les pays en développement. Elle représente la principale source d’emplois dans le monde. C’est bien plus qu’une simple modalité de production alimentaire. C’est un mode de vie.
La FAO a adopté une approche multidimensionnelle pour aider les exploitants familiaux pauvres à faire face aux difficultés qu’ils rencontrent au quotidien et renforcer leur capacité de création de revenus, afin de réduire la pauvreté rurale.
La plupart des personnes pauvres et qui souffrent de la faim, dans le monde, sont des ruraux qui tirent un maigre revenu de l’agriculture. En 2010, sur les 1,2 milliard de personnes extrêmement pauvres, quelque 900 millions vivait en milieu rural. Environ 750 millions de ces personnes travaillaient dans l’agriculture, généralement comme petits exploitants familiaux (Olinto et al., 2013). On estime que 200 millions de ruraux pauvres pourraient émigrer vers les villes ces 15 prochaines années, mais la plupart d’entre eux resteront toutefois à la campagne.
World population is expected to surpass the 9 billion mark by 2050, and agriculture has to increase the production of nutritious food to meet the growing demand and ensure food security for all. It has to generate jobs, improve incomes and contribute to poverty eradication and rural economic growth. And it has a major role to play in the sustainable management of natural resources. Most of the increase in food production will have to take place in developing countries.
La présente note a pour objet de donner des éléments aux décideurs, au niveau national, pour leur permettre de procéder à des évaluations et de prendre les mesures voulues concernant la sécurité alimentaire et la nutrition face au changement climatique. Elle comprend des informations générales sur l’effet que le changement climatique et la variabilité du climat ont sur les secteurs de l’agriculture et la sécurité alimentaire et la nutrition et sur la façon dont ces secteurs et les habitudes alimentaires contribuent aux émissions de gaz à effet de serre.