L’Agriculture de Conservation est un système s’inscrivant dans la démarche de l’agroécologie, fondé sur le non-labour, la couverture permanente du sol par des végétaux et des rotations longues et diversifiées. Le système vise à améliorer la productivité sur le long terme en respectant les services écosystémiques générés par l’activité biologique du sol et la matière organique qu’il contient. Les techniques de non-labour se sont développées sur le continent américain et en Australie. Elles prennent à présent de l’ampleur en Europe.
Au sud-est de la commune de Djougou, les eaux de surface à usage pastoral se raréfient depuis les années 1990. Pour en comprendre l’ampleur et les raisons, nous avons développé un outil permettant une analyse socio-spatiale et socio-environnementale, à l’échelle du finage de deux villages, des dynamiques des ressources, de leurs usages et des stratégies d’accès développées par les populations : un SIG « à dires d’acteurs » associant sur le même support une cartographie classique (réseau hydrographique, forêts, voies de communication, villages, etc.) et l’expertise des populations locales.
In the framework of a wide Foresight process, launched by the Standing Committee on Agricultural Research (SCAR) and aiming to identify possible scenarios for European agriculture in a 20-year perspective, DG RTD/E of the European Commission established a high-level Consultancy Expert Group (CEG) that analysed and synthesised foresight information in order to provide research policy orientations, tacking stock of the report from the first Foresight Expert Group (FEG) published in February 2007.
This document sets out how EU Research and Innovation (R&I) policy contributes to the major global challenge of ensuring food and nutrition security (FNS). It is a first step in the further development of a more coherent approach to European R&I which aims at mobilising resources and stakeholders to set out aligned R&I agendas in response to recent international political drivers such as the Sustainable Development Goals and the COP 21 climate commitments.
La présente note a pour objet de donner des éléments aux décideurs, au niveau national, pour leur permettre de procéder à des évaluations et de prendre les mesures voulues concernant la sécurité alimentaire et la nutrition face au changement climatique. Elle comprend des informations générales sur l’effet que le changement climatique et la variabilité du climat ont sur les secteurs de l’agriculture et la sécurité alimentaire et la nutrition et sur la façon dont ces secteurs et les habitudes alimentaires contribuent aux émissions de gaz à effet de serre.
This evaluation seeks to understand the impact which certain measures of the CAP have had on reducing GHG emissions, agriculture’s vulnerability to climate change and its ability to provide adaptation and mitigation services to society. Most of the CAP measures analysed do not have climate action as their intended purpose but may have it as a secondary purpose. Some, such as those which sustain certain forms of agricultural production responsible for emissions, exist for economic, social and sometimes other environmental reasons.
This publication is one of four CABI briefings on climate change. The key messages in this briefing are:
• Farmers need timely, accurate, and clear advice on how to manage pest risks
• Digitally-enabled early warning systems can help farmers adapt and minimize losses
• The complex interactions between pests, plants, and the environment under future climate change scenarios need further research to determine best practices
• Scaling digital climate information services will require a sharp focus on equity and inclusion
This publication is one of four CABI briefings on climate change. The key messages in this briefing are:
Dans les régions laitières et bocagères, les exploitations agricoles sont souvent considérées comme les unités élémentaires de structuration de l’espace et du paysage rural. L’étude des logiques d’organisation des pratiques des agriculteurs apparaît ainsi comme une grille d’analyse pertinente des dynamiques de transformation de ces espaces et de ces paysages. Dans les exploitations laitières de l’Ouest Atlantique, les facteurs liés à la morphologie parcellaire (pulvérisation spatiale des parcelles, surface de l’exploitation) jouent un rôle prépondérant.
Les grandes exploitations agricoles créées dans le cadre de la loi de mise en valeur agricole de 1983 dans le Sahara algérien étaient vouées à une production céréalière sous pivot. L’objectif était de développer économiquement des régions sahariennes pour partie marginalisées, ainsi que de réduire la dépendance chronique en céréales du pays. L’État a considérablement investi pour équiper ces exploitations agricoles dans le cadre d’un vaste plan de développement rural. Mais trente ans après la parution de la loi, les réalisations demeurent limitées au regard des objectifs initiaux.