Capacity development is regarded by CGIAR as an effective vehicle for sustainable development, when embedded within broader CGIAR Research Programs (CRP). This document offers guidelines on how CGIAR and boundary partners (or those partners who take up and adapt research results for the next level of users) can successfully develop and implement strategies which support this process of integration.
This policy brief consolidates lessons learned from an in-depth literature review on small-scale farmer (SSF) innovation systems and a two-day expert consultation on the same topic, hosted in Geneva by Quaker United Nations Office (QUNO) in May 2015. This review draws together published literature on the evolution of the concept, how on-farm innovation systems function in practice, and the roles of outside actors in supporting them.
The capacity of existing monitoring and decision making tools in generating evidence about the performance of R4D with multi-stakeholder processes, such as innovation platforms (IPs), public private partnerships (PPP), participatory value chain management (PVCM) is very limited. Results of these tools are either contextual and qualitative such as case studies that can not be used by other R4D interventions or quantitative i.e. impact assessments that do not inform what works in R4D.
L’agronomie s’interroge sur la façon de co-développer de nouvelles propositions techniques et organisationnelles pour améliorer la production et le niveau de vie des populations. La Recherche-Action en Partenariat (RAP) est une démarche de recherche qui associe les acteurs locaux à la construction d’innovations. Le caractère imprévisible des stratégies des acteurs et la nécessité d’atteindre les objectifs de la RAP incitent les chercheurs à mettre en place des dispositifs adaptés à la situation locale.
Au cours des vingt dernières années, l’évolution des politiques économiques au Nord comme au Sud a été marquée par la mise en place de processus de libéralisation. Selon les contextes institutionnels, la libéralisation peut prendre des formes très contrastées. Au Costa Rica, suite à l’adhésion du pays à l’OMC, la libéralisation de la filière haricot a été très marquée, du fait d’une protection tarifaire basse, alors que celle de la filière lait n’a pas été effective, du fait d’une protection tarifaire élevée, notamment.
Nous étudions le processus de transfert politique selon lequel les idées et valeurs du développement durable, mûries et véhiculées au niveau international, donnent lieu au niveau national à une recomposition des modes publics d’intervention en milieu rural. Au Mali et à Madagascar, les politiques de développement durable recouvrent des expressions différentes. Nous interprétons ces différences par une analyse comparative des stratégies des acteurs intervenant dans le jeu politique. Nous montrons que ces stratégies renvoient à des processus historiques.
L’intégration de la conservation de la biodiversité à un développement durable est ici analysée pour la gestion de la zone tampon de la Réserve de biosphère du Parc du W. Trois gestions intentionnelles sont avancées pour anticiper une transition agraire et paysagère. Chacune d’elles s’appuie sur des capacités qui leur sont propres. Une gestion intégrée de type agro forestière est recommandée.
La production bananière de Guadeloupe a entrepris une conversion à l’environnement dans le cadre de son plan « banane durable 2008-2013 ». À l’aide d’un cadre théorique en sociologie de l’action publique, les auteures montrent un transfert partiel de la responsabilité de prise en charge des préoccupations environnementales des acteurs publics vers les acteurs privés, conduisant à des formes de privatisation de la gestion des externalités environnementales. La dimension environnementale est alors détournée par les acteurs privés afin de justifier des politiques publiques en leur faveur.
Des réformes institutionnelles ont autorisé la liberté d’association dans les pays du Maghreb. L’émergence et/ou l’essor d’un réseau ramifié d’organisations offertes par ces nouvelles politiques de développement rural ont multiplié les possibilités d’action autonome des acteurs sociaux dans la vie locale.
Farmers and businesses need to adapt constantly if they are to survive and compete in the rapidly evolving environment associated with the contemporary agricultural sector. Rethinking agricultural research as part of a dynamic system of innovation could help to design ways of creating and sustaining conditions that will support the process of adaptation and innovation. This approach involves developing the working styles and practices of individuals and organizations and the incentives, support structures and policy environments that encourage innovation.