Women often have less access to agricultural information than men, constraining their participation in decision-making on crops, technologies, and practices. In the design of agricultural extension programs, women may be viewed as insignificant actors in agricultural production. Moreover, even if their role is recognized, valuable information on production does not flow freely within the household from men to women.
Science and technology (S&T) are major contributors to food security, poverty reduction, and economic growth, as has been proven in Asia since the early-1970s through the Green Revolution in agriculture. Continuing to secure such gains, however, is becoming an increasingly complex undertaking. More than ever, quantitative data are vital for measuring, monitoring, and benchmarking the performance of agricultural S&T systems, including their inputs and outcomes.
Agricultural policies affect almost everyone in the world, directly or indirectly. Improvements in agricultural policy analysis capacity can therefore significantly benefit society. Based on the full report, this brief summarizes lessons learned from the Food Security Policy Innovation Lab’s capacity strengthening efforts over the 2013-2018 period and from related capacity development initiatives conducted over the last four decades by the partner institutions in Africa and Asia.
Agrifood systems are powerful levers for improving livelihoods. They must also address an array of systemic challenges, including satisfying growing global food demand, improving diets, limiting greenhouse gas emissions, adapting to a warming climate, and sustaining the environment. Technology and innovation play a central role in meeting these challenges. This brief offers two policy recommendations to support the contribution of innovation. First, G20 countries should increase political and financial support to agrifood systems research in developing countries.
The Bureau for Food Security (BFS) of USAID commissioned five country studies examining the scaling up of agricultural innovations through commercial pathways in developing countries, to understand how the Agency – including its country missions and implementing partners (IPs) – can use donor projects to achieve greater scale and long-term commercial sustainability.
Le président Macky Sall veut mettre en pratique une série de réformes inclusives qui permettraient au Sénégal d’allier à la fois les « bienfaits de l’agrobusiness » et de l’agriculture paysanne. La balle est dans le camp des sociétés civiles et des organisations paysannes qui doivent saisir la chance d’orienter les politiques agricoles de leur pays. Si elles manquent cette opportunité, le gouvernement sénégalais risque de favoriser l’agrobusiness classique.
Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?
Cette étude vise à analyser les effets de la COVID-19 sur la chaîne de valeur du lait et des produits laitiers, ainsi que les stratégies développées par les acteurs socio- professionnels et privés pour contribuer à la relance par l’Etat de la chaîne de valeur. Elle s’est déroulée de fin mai à août 2020 et a porté sur 19 producteurs et 11 transformateurs laitiers. Elle montre que la hausse des importations de lait et de produits laitiers notée dès janvier 2020 s’est maintenue pendant la pandémie.