L’étude propose une série de mesures qui s’avèrent nécessaires et urgentes pour sauver, consolider et revoir le secteur agricole dans cette situation entourant le coronavirus en Tunisie, et ce, afin de pouvoir penser l’après-Covid-19.
L’agronomie s’interroge sur la façon de co-développer de nouvelles propositions techniques et organisationnelles pour améliorer la production et le niveau de vie des populations. La Recherche-Action en Partenariat (RAP) est une démarche de recherche qui associe les acteurs locaux à la construction d’innovations. Le caractère imprévisible des stratégies des acteurs et la nécessité d’atteindre les objectifs de la RAP incitent les chercheurs à mettre en place des dispositifs adaptés à la situation locale.
L’intégration de la conservation de la biodiversité à un développement durable est ici analysée pour la gestion de la zone tampon de la Réserve de biosphère du Parc du W. Trois gestions intentionnelles sont avancées pour anticiper une transition agraire et paysagère. Chacune d’elles s’appuie sur des capacités qui leur sont propres. Une gestion intégrée de type agro forestière est recommandée.
Les relations entre, d’une part, la nature des droits et la disponibilité d’un titre de propriété, d’autre part, la stimulation du marché foncier, l’investissement ou la productivité des facteurs, restent objets de débats. Cette relation est explorée dans le cas de la politique foncière algérienne qui en 1983 ouvre la voie à la privatisation des terres du domaine privé de l’État. Cet article discute l’impact de cette politique en termes de marchandisation et d’usage productif de la terre, sur la base d’une enquête conduite dans la wilaya de Laghouat.
Des réformes institutionnelles ont autorisé la liberté d’association dans les pays du Maghreb. L’émergence et/ou l’essor d’un réseau ramifié d’organisations offertes par ces nouvelles politiques de développement rural ont multiplié les possibilités d’action autonome des acteurs sociaux dans la vie locale.
This paper documents a positive relationship between maize productivity in western Kenya and women’s empowerment in agriculture, measured using indicators derived from the abbreviated version of the Women’s Empowerment in Agriculture Index. Applying a cross-sectional instrumental-variable regression method to a data set of 707 maize farm households from western Kenya, we find that women’s empowerment in agriculture significantly increases maize productivity.
This study aims to explore how the Positive Deviance approach can be adapted to identify and prioritize rural development interventions for diverse farming households that pursue multiple objectives. We describe the adapted approach, consisting of three research steps, and a case study implementation in Tanzania. Based on this experience, the potential of the Positive Deviance approach for household-specific prioritization of multi-objective development opportunities is discussed
The purpose of this study is to develop a robust, rigorous and replicable methodology that is flexible to data limitations and spatially prioritizes the vulnerability of agriculture and rural livelihoods to climate change. The methodology was applied in Vietnam, Uganda and Nicaragua, three contrasting developing countries that are particularly threatened by climate change. We conceptualize vulnerability to climate change following the widely adopted combination of sensitivity, exposure and adaptive capacity.
Multi-stakeholder platforms have become mainstream in projects, programmes and policy interventions aiming to improve innovation and livelihoods systems, i.e. research for development interventions in low-and middle-income contexts. However, the evidence for multi-stakeholder platforms' contribution to the performance of research for development interventions and their added value is not compelling. This paper focuses on stakeholder participation as one of the channels for multi-stakeholder platforms' contribution to the performance of research for development interventions, i.e.
Strengthening research capacity in low-and-middle-income countries is essential to drive socioeconomic development and to achieve the Sustainable Development Goals. Understanding strengths and weaknesses in institutions’ research capacity can guide effective targeting of investments and resources.