This Doctoral thesis analyzes the Ethiopian agricultural innovation, in particular the case of dairy farming and business in the Addis Ababa milk shed. The innovation capacity assessment model is used to develop the methodology of this study. Data collection, guided by the key components of the innovation system framework, include sector mapping, historical evolution of the sector, resource base analysis, interactions between actors, the policy environment, habits and practices, and resilient features and leverage points.
Agriculture is central to Ethiopian economy but its sustainable development faces enormous challenges. Low innovation capacity, low productivity, dwindling natural resources and climate change, small-scale subsistence farming, and low levels of market integration and value addition have all made agricultural development more complex. In spite of the decades of research and development efforts, the rate of growth for both crop and livestock productivity has remained low.
The citizens of Lesotho rely on a complex web of livelihood strategies made primarily of family kinships and strong community networks. Recently, community breakdowns have occurred because of extensive land degradation, soil erosion, widespread poverty, and HIV/AIDs. This thesis focuses on two aspects which are likely to help decrease the problems earlier stated.
Le projet CDAIS, financé par l'UE et mis en œuvre par la FAO et Agrinatura, soutient l'innovation agricole par le développement des capacités fonctionnelles des individus et des organisations du système national d'innovation agricole. Dans huit pays pilotes en Amérique Centrale, Afrique et Asie, des démarches, des outils et des competénces sont créées pour accompagner les apprentissages nécessaires à la conduite de projets d'innovation et sont testées dans des Situations d'Innovation Localisées qui ont été sélectionnés.
The sustainable agricultural intensification research and learning in Africa (SAIRLA) project is a five-year program (2015–2020) funded by the UK Department of International Development. The project seeks to generate new evidence and design tools to enable governments, investors and other key actors to deliver more effective policies and investments in sustainable agricultural intensification (SAI) that strengthen the capacity of poorer farmers’, especially women and young people, to access and benefit from SAI.
This brochure is on the Virtual Extension and Research Information and Communication Network (VERCON), a conceptual model that any country can use and adapt to improve access to agricultural information and knowledge sharing and to strengthen the linkages between rural institutions and individuals, using information and communication technologies.
Cette brochure présente le réseau virtuel de communication pour la vulgarisation et la recherche (VERCON), qui est un modèle conceptuel que tout pays peut utiliser et adapter pour améliorer l’accès à l’information agricole et le partage des connaissances, ainsi que pour renforcer les interactions entre les personnes et les institutions du monde rural. Pour cela, le réseau a recours aux technologies de l’information et de la communication.
Este folleto presenta la red virtual de comunicación sobre la extensión y la investigación (VERCON), que es un modelo conceptual que cualquier país puede utilizar y adaptar para mejorar el acceso a la información agropecuaria y el intercambio de conocimientos, así como para reforzar los vínculos entre las personas y las instituciones del mundo rural, utilizando las tecnologías de la información y la comunicación.
Les mutations du secteur agricole bamiléké (Ouest-Cameroun) ont été très importantes depuis le milieu des années 80, marqué par la chute des prix du café, alors principale production du pays Bamiléké, et par la crise économique au Cameroun. Dans cette thèse, le concept de dispositif (Foucault, Moisdon, Maugeri, RIDT-INRA) est l'outil principal d'analyse de ce secteur agricole.
Le Touat-Gourara-Tidikelt est un très vaste espace, qui occupe près du quart la superficie du Sahara algérien. Il fait partie intégrante de la zone la plus aride du monde, aux contraintes naturelles particulièrement difficiles. Cet espace connu comme le « Pays des foggaras » était savamment exploité, depuis plus d’un millénaire, par les oasiens qui profitaient de la dynamique économique impulsée par le commerce transsaharien.