América Latina es una región muy heterogénea en términos de los niveles de desarrollo de los países y la madurez de sus SNI. Sin embargo, la región tiene una característica común que cruza desde la Patagonia hasta el Río Grande y desde el Pacífico hasta el Atlántico: es muy desigual socialmente hablando. Después de décadas de esfuerzos por avanzar más rá-pidamente en la senda del desarrollo, América Latina sigue siendo la región más desigual del mundo.
This report shows some initial results about the research project entitled GlobalOrg, on a Brazilian case study, investigating the sustainability of tropical fruit organic farming in a global food chains perspective. It was performed an analysis about the production strategies of certified units of a familiar smalholders cooperative from Itápolis-SP-Brazil.
In 2010 the Brazilian Government established a goal to reduce the emissions of greenhouse gases (GHG) by agriculture from 36.1 up to 38.9% in ten years (2010 -2020). To contribute for reaching part of this purpose in Tocantins State, Embrapa and other research and extension services partners have been conducting a project of technology transference on sustainable agricultural practices, including integrated crop-livestock-forestry (ICLF), since 2012.
El objetivo del estudio fue evaluar el grado de sostenibilidad de agroecosistemas campesinos, a través de la aplicación del enfoque sistémico que permita una comprensión integrada de los impactos técnicos, ambientales, económicos y sociales, como base para apoyar el proceso de transición agroecológica. Para tanto se adoptaron marcos conceptuales empleadas por la Metodología MESMIS, a partir de un conjunto de atributos sistémicos para la evaluación de los agroecosistemas.
En Europe, depuis trois décennies, la prise en compte des enjeux environnementaux dans les politiques agricoles se traduit, en partie, par la conception de Mesures agrienvironnementales (MAE), visant à promouvoir le changement de pratiques. En France, ces mesures ont été mobilisées dans différents modèles de contrats avec les agriculteurs, passant d’un paradigme basé sur la subvention de la multifonctionnalité d’une exploitation agricole à une compensation des surcoûts liés à l’adoption de nouvelles pratiques plus vertueuses au niveau des parcelles.
Cet article aborde la mise en place d’un projet d’agroforesterie villageoise, pour la gestion intégrée des ressources naturelles, dans le hameau de Duale Mitterrand (52 ménages) situé sur le plateau des Batéké (République démocratique du Congo). Il repose sur un travail de terrain effectué entre février et mai 2012 dans le cadre du mémoire de fin d’études du master en sciences et gestion de l’environnement de l’Université Libre de Bruxelles (ULB).
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.
L’agriculture de conservation (AC) obéit à trois principes : travail du sol minimal, couverture du sol permanente et multiculture. Partant de ses avantages avérés pour l’écologie du sol, la séquestration de carbone et son adoption massive dans quelques régions du monde, elle est présentée par ses promoteurs comme un système durable convenant à tous contextes. Dès lors elle a été mondialement diffusée au nom du développement durable.
Les notions de services environnementaux et de services écosystémiques (SE) ont connu un rapide engouement au cours de la dernière décennie et sont à l’origine de nouveaux instruments pour faire face à divers problèmes environnementaux, notamment la déforestation : les dispositifs de Paiements pour Services Environnementaux (PSE). Néanmoins, l’intégration du concept dans les politiques publiques reste un processus rare.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).