L’alimentation en eau et la protection des milieux aquatiques sont confrontées aux pollutions diffuses d’origine agricole dans le nord-ouest de la France. Les politiques de gestion des ressources en eau s’appuient à présent sur la participation des agriculteurs afin de concevoir des solutions adaptées aux territoires. En effet, si la réglementation est nécessaire, elle n’est pas suffisante pour atteindre une qualité satisfaisante sur de nombreux bassins versants fortement pollués par les nitrates, le phosphore ou les produits phytosanitaires.
Le semis direct est un système de production fondé sur le non-travail du sol. Il intègre une série de pratiques agricoles qui permettent de protéger les sols cultivés de l’érosion, de réduire les consommations de carburants, voire d’augmenter les rendements. Le large succès du semis direct au Brésil, contribue à la compétitivité et à la forte croissance de ses productions tout en préservant les sols. Le système complet du semis direct sous couvert est fondé sur trois principes : le non-labour, la couverture permanente du sol et des rotations culturales.
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.
Au Brésil, la diffusion du modèle de gestion intégrée des ressources en eau varie fortement selon l’environnement socio-territorial. Le Sud présente un dynamisme certain s’appuyant sur des initiatives locales. Les acteurs locaux sont organisés en comité de bassin et développent des actions pour améliorer la gestion des ressources. Dans le Nordeste, la marche vers ces nouveaux modes de gestion paraît difficile tant les inerties sociales et culturelles freinent un partage réel du pouvoir, des ressources et des coûts.
One-fifth of the innovative solutions to fight the Covid-19 pandemic have emerged from low and middle-income countries, and these responses offer promising insights for how we think about, manage, and enable innovation. As the international community now faces the historic challenge of vaccinating the world, more attention and resources must be directed to the innovators who are developing technically novel, contextually relevant, and socially inclusive alternatives to mainstream innovation management practices.
How do innovations move from the edges to the core of what an organization does? For maximum impact, innovations must cease to be innovative and become institutionalized and normalized.
Innovation portfolio management enables not only commercial actors but also public sector organisations to systematically manage and prioritise innovation activities according to concurrent and diverse purposes and priorities. It is a core component of a comprehensive approach to innovation management and a condition to assess the social return of investment across an entire portfolio. The OECD Observatory of Public Sector Innovation (OPSI) has worked in this space for a number of years.
For most development organisations and funders, innovation remains a sprawling collection of activities, often energetic, but largely uncoordinated. To a dregree, this has also been the case for Iceland's development co-operation. Iceland, a comparatively small but energetic player in the international development co-operation system, provided the equivalent of 0.28% (roughly 67 million Euro) of it 2021 gross national income towards Official Development Assistance.
In the face of the climate emergency, around 140 countries, which emit close to 90% of the global greenhouse gas emissions, are planning to reduce their emissions to as close to zero as possible (known as net zero) in the upcoming decades. Around a third of these are low- and middle-income countries (LMICs), the countries most affected by climate change. So how can countries in the Global South achieve a socially-just transition? One key element is innovation, and potentially mission-oriented innovation.