Ethiopian agriculture is changing as new actors, relationships, and policies influence the ways in which small-scale, resource-poor farmers access and use information and knowledge in their agricultural production decisions. Although these changes suggest new opportunities for smallholders, too little is known about how changes will ultimately improve the wellbeing of smallholders in Ethiopia. The authors of this paper examine whether these changes are improving the ability of smallholders to innovate and thus improve their own welfare.
Though research on communication and innovation during the last decade brought better understanding on the innovation process, this has not influenced the underlying paradigm and practice of Extension and Advisory Services (EAS) in most countries. At the same time there have been few initiatives that tried to experiment with new ways of developing capacities for extension and innovation.
The article provides a conceptual framework and discusses research methods for analyzing pluralistic agricultural advisory services. The framework can also assist policy-makers in identifying reform options. It addresses the following question: Which forms of providing and financing agricultural advisory services work best in which situation? The framework ‘disentangles’ agricultural advisory services by distinguishing between (1) governance structures, (2) capacity, (3) management, and (4) advisory methods.
Agricultural education, research, and extension can contribute substantially to reducing rural poverty in the developing world. However, evidence suggests that their contributions are falling short in Sub-Saharan Africa. The entry of new actors, technologies, and market forces, when combined with new economic and demographic pressures, suggests the need for more innovative and less linear approaches to promoting a technological transformation of smallholder agriculture.
In an effort to raise incomes and increase resilience of smallholder farmers and their families in Feed the Future1 (FTF) countries, the United States Agency for International Development (USAID) funded the Developing Local Extension Capacity (DLEC) project. This project is led by Digital Green in partnership with the International Food Policy Research Institute (IFPRI), CARE International (CARE) and multiple resource partners.
Bien que l’appui apporté aux communautés rurales en matière de renforcement de la vulgarisation et de conseil, ait fait l’objet de nombreux débats ces dernières années, l’on sait peu de choses sur la façon de renforcer les capacités nécessaires dans les services de vulgarisation et de conseil (SVC), et sur le rôle que ces services jouent dans le système d’innovation agricole (SIA).
La co-conception de systèmes agricoles innovants est une piste prometteuse pour répondre au défi de l’innovation, notamment pour les exploitations agricoles familiales africaines confrontées à de multiples changements. Mais il faut penser à la place et aux rôles tenus par de multiples acteurs (agriculteurs, conseillers, chercheurs) pour produire les changements souhaités par toutes les parties, et donc réfléchir à la question du partenariat dans le processus.
La rencontre des chercheurs qui s’interrogent sur l’efficacité de leurs interventions pour accompagner les acteurs dans les processus de changement constitue une occasion pour s’interroger sur les méthodes de recherche à développer lors de travaux réalisés avec les acteurs : recherche participative, « recherche-action », recherche intervention... L’auteur propose de présenter la démarche de recherche-action comme nouvelle.
La façon donc les organismes de recherche et d'appui aux agriculteurs participent aux processus de développement de l'agriculture et du monde rural fait l'objet de débats. Ceux-ci portent à la fois sur la compréhension des besoins réels des agriculteurs et sur les formes de coordination entre les différents acteurs de la production de connaissances traduisibles en actions. Nous proposons d'illustrer cette problématique à partir d'un programme de coopération franco-argentin Innovaciones, Desarrollo, Exploitationes Agropecuarias, Sociedad local (IDEAS), engagé en Argentine en 1995-1996.
Les politiques publiques en faveur du développement rural se matérialisent au travers d’instruments incitatifs, de règlements particuliers, ou encore par l’accompagnement des initiatives particulières. Ceux-ci répondent en général à la mise en place d’une stratégie nationale d’appui à une filière agricole. Dans le cas du quinoa cultivé au Chili, chaque région de production observe un développement propre.