El presente estudio muestra las principales características socio-productivas de la red agroalimentaria mencionada, la identificación de etapas, agentes y actividades (primarias y de soporte), y el análisis de los mecanismos que la gobiernan; para lo cual se empleó una metodología sistémica que permitió caracterizar la mencionada red, y en donde se determinó que presenta ventajas como la inclusión de mujeres a la etapa productiva, y el sentido de asociatividad de procesadores y distribuidores
El objetivo del trabajo fue obtener información básica sobre la producción y los retornos económicos de la habichuela larga en el Caribe Húmedo de Colombia en el año 2018. No se evidencian trabajos anteriores en materia de caracterización tecnológica y socioeconómica. La información se obtuvo de una encuesta estructurada aplicada mediante el método de muestreo aleatorio simple a 16 productores de habichuela larga. Los retornos económicos se calcularon empleando patrones de costos y técnicas de análisis económico de rentabilidad
Este artículo tiene como objetivo elaborar un proyecto de desarrollo sostenible y sustentable de fincas productoras mediante procesos participativos en el municipio de Sáchica, Boyacá. La investigación se realizó con familias campesinas de la vereda Arrayán Alto, del municipio de Sáchica, Boyacá, mediante la metodología Investigación Acción Participativa (IAP), que se centra en la participación de las comunidades para elaborar propuestas concertadas con ellas.
Este trabajo da cuenta de las diferencias y similitudes de los enfoques de extensión rural que han utilizado la universidad de caldas y la Asociación Hortifrutícola de colombia (Asohofrucol), durante los últimos seis años, con productores de mora de los municipios de Aranzazu y manzanares (caldas).
En este artículo se revisan los medios de participación ciudadana, se describen las relaciones de poder que se presentan en esta y se aborda la manera cómo ella promueve el desarrollo local y endógeno de los territorios, con el fin de estimular su crecimiento. El objeto central de este artículo es profundizar conceptualmente el alcance de la planeación participativa en diversos ámbitos académicos, sociales y políticos, que giran en torno al desarrollo de los territorios
Ces dernières années, une « ruée vers les terres » a privé une multitude de petits producteurs du Sud de leur surface agricole. Depuis l’an 2000, plus de 1 600 transactions foncières portant sur quelque 60 millions d’hectares ont été enregistrées.
Aujourd’hui encore, les forêts restent un enjeu vital. Ceci alors que le développement accéléré de beaucoup de régions provoque une pression croissante sur les écosystèmes forestiers. Parc Yasuni en Equateur, parc national des Virunga en RDC, ou plus largement forêts tropicales au Brésil ou en Indonésie, on peut multiplier les exemples de conflits socio-environnementaux où la question de l’utilisation et de la propriété des ressources forestières est l’objet de luttes féroces entre populations indigènes, ONG environnementales, multinationales et gouvernements, etc.
Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.
Lancée par le président brésilien Lula au début des années 2000, Fome Zero est une stratégie globale de lutte contre la faim, intégrant un ensemble de programmes publics d’accès à l’alimentation, de soutien à l’agriculture familiale et de développement d’activités génératrices de revenus, le tout dans un cadre impliquant fortement la société civile. Grâce à Fome Zero, le Brésil est souvent montré comme le modèle à suivre en matière de politique publique de lutte contre la faim. Mais quels sont les aléas du copier-coller de ce modèle ?
Aujourd’hui, l’agriculture familiale fait preuve de dynamisme. Pour prouver qu’elle est un modèle à défendre, il faut convaincre les États de mener des politiques volontaristes et souveraines de rénovation de l’agriculture. Une politique efficace devra identifier les forces et les faiblesses de l’agriculture familiale, lutter contre l’accaparement des terres, encourager les jeunes paysans et les paysannes. Prendre en compte les différentes dimensions de l’agriculture familiale est nécessaire pour mener à une transformation efficace.