African agriculture is currently at a crossroads, at which persistent food shortages are compounded by threats from climate change. But, as this book argues, Africa can feed itself in a generation and help contribute to global food security. To achieve this Africa has to define agriculture as a force in economic growth by: advancing scientific and technological research; investing in infrastructure; fostering higher technical training; and creating regional markets.
This study aims to achieve a better understanding of the agricultural risk and risk management situation in Tanzania with a view to identifying key solutions to reduce current gross domestic product (GDP) growth volatility. For the purpose of this assessment, risk is defined as the probability that an uncertain event will occur that can potentially produce losses to participants along the supply chain.
Despite myriad challenges, Kenya has emerged in recent years as one of Africa’s frontier economies, with headline growth in the most recent decade propelling the country toward middle-income status. Less well understood is how risk dynamics associated with production, markets, and policy adversely impact sector performance, in terms of both influencing ex ante decision making among farmers, traders, and other sector stakeholders and causing ex post losses to crops, livestock, and incomes - destabilizing livelihoods and jeopardizing the country’s food security.
Une analyse de trajectoires d’innovations agricoles au Bénin observées dans la longue durée permet d’en identifier les facteurs de diffusion à grande échelle. Beaucoup d’innovations passent inaperçues sur de longs tronçons de leur trajectoire, étant endogènes ou impliquant des acteurs non « conventionnels » et pas d’organisations de recherche. Les innovations qui passent à grande échelle sont en fait des faisceaux d’innovations technologiques, institutionnelles ou organisationnelles qui s’enchaînent les unes en réponse aux contraintes des autres.
C’est en 1954 que les paysans de la Commune rurale de l’Imanan, située dans l’Ouest du Niger, ont commencé la culture de pomme de terre. Partie d’une simple culture d’appoint associée à d’autres spéculations, la production de pomme de terre fait maintenant partie intégrante des systèmes de productions locaux. C’est la principale stratégie adaptative des paysans pour faire face aux crises alimentaires.
Cet article interroge les opportunités et les défis de la demande et de la consommation locales en Afrique de l‘Ouest. Permettre à l’agriculture familiale de bénéficier pleinement de la croissance de la demande régionale nécessitera de travailler davantage sur la structuration des filières, l’aval de la production et le commerce.
Cet article reprend des travaux de prospective réalisés sur l’Afrique de l’Ouest. Il souligne la tendance à l’augmentation de la taille et à la concentration des exploitations agricoles. Selon les auteurs, cette évolution nécessitera pour l’agriculture familiale une transition vers une vocation plus commerciale.
Au sud-est de la commune de Djougou, les eaux de surface à usage pastoral se raréfient depuis les années 1990. Pour en comprendre l’ampleur et les raisons, nous avons développé un outil permettant une analyse socio-spatiale et socio-environnementale, à l’échelle du finage de deux villages, des dynamiques des ressources, de leurs usages et des stratégies d’accès développées par les populations : un SIG « à dires d’acteurs » associant sur le même support une cartographie classique (réseau hydrographique, forêts, voies de communication, villages, etc.) et l’expertise des populations locales.
Four FFSs concerning integrated crop–livestock systems were implemented by a R&D project namely “Adaptation to Climate Change in West Asia and North Africa (WANA) Marginal Environments through Sustainable Crop and Livestock Diversification (ACC project)” during the summer season 2013 in three villages namely Village 4, Village 7 and Village 1750 in Sinai Peninsula. This study aimed to do the following: (1) assess the learning impacts of farmer field schools of integrated crop–livestock package and (2) explore the factors that affect the respondents’ learning index.
In eastern Zambia, population growth has reduced per-capita land availability to such an extent that traditional bush fallows can no longer be practiced, and low soil fertility is a major constraint to crop production. Improved fallows (IF) based on leguminous trees are a low cash-input agroforestry practice to restore soil fertility. The objective of the study reported here was to assess the adoption of IF by farmers who tested the technology, including the extent to which the technology is practiced relative to its potential scale.