The purposes of this course are to review the major reforms being considered internationally that aim to change the policy and institutional structure and operations of public sector agricultural extension systems, and to examine the advantages and disadvantages of each of these reforms as illustrated by the selected case studies. Aside from the introductory chapter, the course is organized into nine modules, which are conceived as part of a larger framework.
A growing variety of public and private agricultural advisory services are available today, leading to increasingly ‘pluralistic service systems’ (PSS) where advisory services are provided by different actors and funded from different sources. This is generally regarded as an important step forward, as it steers away from relying on purely state-led or privatised service systems. PSS hold the potential to overcome constraints related to funding, staffing and expertise, and to make advisory services more demand-driven.
A growing variety of public and private rural advisory services are available today, leading to increasingly pluralistic service systems (PSS) – in which advisory services are provided by different actors and funded from different sources. PSS have emerged in many countries as a response to a decline in public sector extension and the increasing demand for tailored, diverse and market-oriented services. Private companies, non-governmental organizations and producer organizations, today play more active roles alongside traditional public sector providers.
A growing variety of public and private rural advisory services are available today, leading to increasingly “pluralistic service systems” (PSS), in which advisory services are provided by different actors and funded from different sources. However, these PSS and the way they operate are still poorly understood. In particular, how PSS can effectively respond to demands of heterogeneous farmers in contexts where small-scale agriculture increasingly needs to exploit value addition and adapt to market requirements.
L’édition annuelle de Défis Sud propose un regard sur les agricultures, avec des faits, des chiffres et des prévisions. Face à l’augmentation de la population, au réchauffement climatique et à la perte de ressources naturelles, les solutions proposées pour répondre au défi de la sécurité alimentaire mondiale devraient davantage miser sur l’agriculture familiale et l’agroécologie. En 2018 les agricultures familiales seront encore menacées.
Comment se porte le secteur laitier ? En Europe, il n’en est pas à sa première crise. Au Sud, il subit les conséquences de la surproduction et des exportations massives.
La publication de ce numéro double consacré à l’agriculture familiale marque un tournant de l’histoire de la revue Défis Sud. Depuis vingt ans, votre revue a resserré son projet éditorial sur les questions agricoles et de développement rural.
Face aux limites du système agro-industriel productiviste, des résistances et des alternatives positives proposent de nouvelles façons de penser et de pratiquer l’agriculture.
Ces dernières années, une « ruée vers les terres » a privé une multitude de petits producteurs du Sud de leur surface agricole. Depuis l’an 2000, plus de 1 600 transactions foncières portant sur quelque 60 millions d’hectares ont été enregistrées.
Aujourd’hui encore, les forêts restent un enjeu vital. Ceci alors que le développement accéléré de beaucoup de régions provoque une pression croissante sur les écosystèmes forestiers. Parc Yasuni en Equateur, parc national des Virunga en RDC, ou plus largement forêts tropicales au Brésil ou en Indonésie, on peut multiplier les exemples de conflits socio-environnementaux où la question de l’utilisation et de la propriété des ressources forestières est l’objet de luttes féroces entre populations indigènes, ONG environnementales, multinationales et gouvernements, etc.