Public-private partnerships are a new way of carrying out research and development (R&D) in Latin America's agricultural sector. These partnerships spur innovation for agricultural development and have various advantages over other institutional arrangements fostering R&D. This report summarizes the experiences of a research project that analyzed 125 public-private research partnerships (PPPs) in 12 Latin American countries. The analysis indicates that several types of partnerships have emerged in response to the various needs of the different partners.
This paper synthesizes Component 2 of the Regoverning Markets Programme. It is based on 38 empirical case studies where small-scale farmers and businesses connected successfully to dynamic markets, doing business with agri-processors and supermarkets. The studies aimed to derive models, strategies and policy principles to guide public and private sector actors in promoting greater participation of small-scale producers in dynamic markets. This publication forms part of the Regoverning Markets project.
In the Amazon, slash and burn is the most common technique used by American-Indians, small farmers and even big ranches to transform forests into rural landscapes. The basis of food subsistence for diverse populations (rice, corn and bean), slash and burn is also a must for the plantation of cocoa, coffee, palms and pastures. The Amazonian rural landscape is currently dominated by pastures, occupying around 80 % of the deforested surface.
Family farms are by far the most numerous component of the agricultural sector in the Brazilian Amazon. However socially vital for the development of the region, these small landholdings' agricultural and cattle ranching activities frequently overdraw and degrade natural resources, threatening important ecosystem services. Predominant agricultural practices have been marked by shifting cultivation, with intense use of fire and low productivity, causing high rate of destruction of natural forests.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.
El Instituto Latinoamericano y del Caribe de Planificación Económica y Social (ILPES) de la Comisión Económica para América Latina y el Caribe (CEPAL) ha instituido un espacio periódico abierto a la interlocución con los especialistas en planificación para el desarrollo en la región, denominado Jornadas de Planificación. Entre el 17 y el 17 de mayo de 2016, estas jornadas se combinaron con el Seminario Internacional “Los Objetivos de Desarrollo Sostenible y la Construcción de Futuros para América Latina y el Caribe”.
La R&D agricole considère aujourd’hui les innovations de terrain comme des sources d’idées et de références pour améliorer durablement les modes de production. La « traque de systèmes innovants » et l’évaluation de ces systèmes pour définir les plus performants du point de vue économique et agrienvironnemental nécessitent cependant un travail de mise au point méthodologique, auquel cet article vise à contribuer.
Au cours des vingt dernières années, l’évolution des politiques économiques au Nord comme au Sud a été marquée par la mise en place de processus de libéralisation. Selon les contextes institutionnels, la libéralisation peut prendre des formes très contrastées. Au Costa Rica, suite à l’adhésion du pays à l’OMC, la libéralisation de la filière haricot a été très marquée, du fait d’une protection tarifaire basse, alors que celle de la filière lait n’a pas été effective, du fait d’une protection tarifaire élevée, notamment.
Le présent texte analyse la trajectoire du mouvement alternatif ou écologique dans l’agriculture, en prenant comme référence des données et des informations provenant d’études réalisées au Brésil. Cette analyse privilégie les aspects liés à l’origine, à l’expansion et à l’institutionnalisation de l’agriculture écologique.
Depuis plusieurs décennies, la canne et la banane, monocultures fortement dépendantes des intrants, façonnent le paysage guadeloupéen de manière binaire : canne au Nord et banane au Sud. Depuis quelques années la production de bananes est dans une situation difficile avec l’évolution rapide du cadre régle- mentaire et du fonctionnement du marché de la banane. Les planteurs et les organisations agricoles doivent réfléchir à une nouvelle orientation des itinéraires techniques conventionnels.