Policy processes are formal and informal negotiations in which heterogeneous groups of stakeholders seek to influence policy agenda setting and the development and implementation of policy. Innovation platforms can help balance the vested interests of market actors, civil society and other stakeholders to support policy processes. They can bring together different types of expertise, experience and interests, and facilitate learning between policymakers and market and civil society actors to develop negotiated and implementable policies and regulations.
An innovation platform is a space for learning and change. It is a group of individuals (who often represent organizations) with different backgrounds and interests: farmers, traders, food processors, researchers, government officials etc. The members come together to diagnose problems, identify opportunities and find ways to achieve their goals. They may design and implement activities as a platform, or coordinate activities by individual members. This brief explains what innovation platforms are and how they work, and it describes some of their advantages and limitations.
This is a chapter of the book Innovation platforms for agricultural development edited by Iddo Dror, Jean-Joseph Cadilhon, Marc Schut, Michael Misiko and Shreya Maheshwari.
L’édition annuelle de Défis Sud propose un regard sur les agricultures, avec des faits, des chiffres et des prévisions. Face à l’augmentation de la population, au réchauffement climatique et à la perte de ressources naturelles, les solutions proposées pour répondre au défi de la sécurité alimentaire mondiale devraient davantage miser sur l’agriculture familiale et l’agroécologie. En 2018 les agricultures familiales seront encore menacées.
Comment se porte le secteur laitier ? En Europe, il n’en est pas à sa première crise. Au Sud, il subit les conséquences de la surproduction et des exportations massives.
La publication de ce numéro double consacré à l’agriculture familiale marque un tournant de l’histoire de la revue Défis Sud. Depuis vingt ans, votre revue a resserré son projet éditorial sur les questions agricoles et de développement rural.
Au niveau familial, l’émigration constitue souvent une recherche de revenus, de sécurité, mais aussi une manière de faire face à des problèmes socio-politiques et des conflits. A l’encontre des clichés, l’émigration n’est pas forcément défavorable à l’agriculture familiale.
Face aux limites du système agro-industriel productiviste, des résistances et des alternatives positives proposent de nouvelles façons de penser et de pratiquer l’agriculture.
Défis Sud avait déjà consacré un numéro spécial au « genre » en développement en 2005. Neuf ans plus tard, dans ce numéro « genre et transformations de l’agriculture familiale », la revue entend croiser les dynamiques présentes dans ce type d’agriculture en abordant les rapports femmes-hommes, les relations de pouvoir et les changements sensibles dans les interactions sociales, culturelles et professionnelles entre femmes et hommes dans les exploitations agricoles familiales.
Ces dernières années, une « ruée vers les terres » a privé une multitude de petits producteurs du Sud de leur surface agricole. Depuis l’an 2000, plus de 1 600 transactions foncières portant sur quelque 60 millions d’hectares ont été enregistrées.