El presente informe es resultado de un trabajo colectivo realizado por el Comité de Expertos de Alto Nivel y por un equipo de redacción al que encomendó esta tarea la 7asNIorce sobre Financiación Innovadora para la Agricultura, la Seguridad Alimentaria y la Nutrición. Esta 7asNIorce había sido creada por el Grupo Piloto de Financiamiento Innovador para el Desarrollo en su 9ª reunión plenaria, celebrada en Malí (Bamako) en junio de 2011.
Fin des années 1990 : le Brésil adopte une politique agricole duale fondée sur l’appui à l’agrobusiness et à l’agriculture familiale. Dans ce contexte, l’un des principaux enjeux porte sur la définition d’un modèle agricole destiné à améliorer le soutien à une agriculture familiale longtemps niée par les politiques agricoles successives. Cet article participe à cette réflexion, toujours d’actualité, en discutant les difficultés d’accompagnement de la « modernisation » de ce type d’agriculture.
Cet article défend l'idée que les petites exploitations agricoles doivent être placées au cœur du processus de développement, principalement dans les pays du Sud, notamment parce que la moitié des populations qui, dans le monde, souffrent de la faim, habitent des zones rurales et disposent de moins de 2 hectares, et parce que près de 2 milliards d'êtres humains dépendent de l'agriculture familiale. L'auteur, éminent représentant de la FAO, préconise l'insertion de la petite exploitation dans les circuits agro-industriels.
In the framework of a wide Foresight process, launched by the Standing Committee on Agricultural Research (SCAR) and aiming to identify possible scenarios for European agriculture in a 20-year perspective, DG RTD/E of the European Commission established a high-level Consultancy Expert Group (CEG) that analysed and synthesised foresight information in order to provide research policy orientations, tacking stock of the report from the first Foresight Expert Group (FEG) published in February 2007.
This evaluation examined the support the European Commission’s DG for Development and International Cooperation (DEVCO) provided to Research and Innovation (R&I) in partner countries during the last EU budget period (2007-2013). The objectives of the evaluation were to provide an overall judgment on the extent to which the EU development co-operation policy has adopted a strategic approach to support R&I and whether the approach was appropriate to enhance capacity to reach development objectives.
This document sets out how EU Research and Innovation (R&I) policy contributes to the major global challenge of ensuring food and nutrition security (FNS). It is a first step in the further development of a more coherent approach to European R&I which aims at mobilising resources and stakeholders to set out aligned R&I agendas in response to recent international political drivers such as the Sustainable Development Goals and the COP 21 climate commitments.
L’agriculture familiale est le modèle d’exploitation le plus répandu en Europe. À ce titre, elle assure depuis des siècles la prospérité du secteur. L’ambitieux cadre stratégique mis en place par l’Union européenne a été conçu pour tenir compte des différents modèles d’agriculture qui coexistent sur son territoire, en ce compris les divers types d’agriculture familiale.
Cet article revient sur l’activisme des multinationales de l’agrofourniture et de l’agroalimentaire dans la gouvernance du secteur agricole. Pour ce faire nous nous appuyons sur deux cas de figure qui ont trait à la conception et à la diffusion d’innovations à l’échelle internationale : la technique du semis direct, et la mise en place de systèmes de certification « durable » des principales matières premières agricoles.
Quels sont les effets de l’implantation de méga-exploitations agricoles sur les différents groupes d’intérêt des territoires locaux ? Cette implantation provoque-t-elle de fortes ruptures ou une simple accélération des dynamiques en cours ? Sur la base d’une étude de cas à Madagascar, cet article s’intéresse aux recompositions du système agraire à Madagascar engendrées par l’installation récente d’une entreprise privée étrangère. Tandis que l’emploi se développe au bénéfice des plus petits agriculteurs, l’accès à la terre évolue au détriment des éleveurs les plus aisés.
Cet article tente de relever ce qui, en économie agricole ou agroalimentaire et en statistique agricole, contribue à définir « l’agriculture de firme » parmi l’ensemble des exploitations agricoles françaises. Même si l’exploitation familiale tend à éclater, elle reste la norme du paysage rural français. Ce qui nous intéresse ici renvoie à la « théorie de la firme », lieu de répartition stratégique entre le travail et le capital.