Innovation systems can be defined in a variety of ways: they can be national, regional, sectoral, or technological. They all involve the creation, diffusion, and use of knowledge. Systems consist of components, relationships among these, and their characteristics or attributes. The focus of this paper is on the analytical and methodological issues arising from various system concepts. There are three issues that stand out as problematic. First, what is the appropriate level of analysis for the purpose at hand?
This paper develops a quantitative, graph-theoretic method for analysing systems of institutions. With an application to the agricultural innovation system of Azerbaijan, the method is illustrated in detail. An assessment of existing institutional linkages in the system suggests that efforts should be placed on the development of intermediary institutions to facilitate quick and effective flow of knowledge between the public and the private components of the system.
The present report is based on the authors' visits to Bolivia, Honduras and Nicaragua, during June-August 2004 in order to develop an initial understanding of innovation processes and identifying stakeholders working with national innovation processes. It also review the experiences of the invited Latin American participants in the 7th Global Conference of Competitiveness Institute (entitled "Building Innovative Clusters for Competitive Advantage") in September 2004 and finally presents suggestion for further activities.
This brochure presents the Programme on Bridging the Rural Digital Divide, that begun in 2003 under the implementation of the Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO). The programme highlighted innovative approaches to knowledge exchange that were taking advantage of new (at that time) digital technologies, and that were based on synergies between information management and communication for development. At the time this was referred to as "information and communication for development"(ICD).
Cette brochure présente un programme stratégique intitulé «Combler le fossé numérique en milieu rural», mis en œuvre en 2003 pour l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Le programme exposait des approches novatrices pour le partage des connaissances qui tiraient partie des nouvelles technologies numériques (de l’époque) et qui s’appuyaient sur des synergies entre la gestion de l’information et la communication pour le développement. A l'époque cela était appelé «information et communication pour le développement" (ICD).
Este folleto presenta el Programa estratégico para “Reducir la Brecha Digital en el Medio Rural”, implementado en 2003 por la Organización de las Naciones Unidas para la Alimentación y la Agricultura (FAO). El programa destacó enfoques novedosos para el intercambio de información, que aprovechaban de nuevas (en ese tiempo) tecnologías digitales, y se basaban en sinergias entre la gestión de información y la comunicación para el desarrollo. En ese momento este proceso se llamaba "Información y Comunicación para el Desarrollo" (ICD).
La façon donc les organismes de recherche et d'appui aux agriculteurs participent aux processus de développement de l'agriculture et du monde rural fait l'objet de débats. Ceux-ci portent à la fois sur la compréhension des besoins réels des agriculteurs et sur les formes de coordination entre les différents acteurs de la production de connaissances traduisibles en actions. Nous proposons d'illustrer cette problématique à partir d'un programme de coopération franco-argentin Innovaciones, Desarrollo, Exploitationes Agropecuarias, Sociedad local (IDEAS), engagé en Argentine en 1995-1996.
Depuis plusieurs décennies, les pays de l’Afrique de l’Ouest se sont investis dans le développement et la diffusion des innovations agricoles dans le but d’accroître la productivité agricole et la production vivrière en particulier. Plusieurs mécanismes et approches ont été développés à cet effet en vue d’une utilisation efficace de ces innovations agricoles par les producteurs.
La présente note commence par indiquer brièvement en quoi une politique de la concurrence est importante pour les économies en développement et en transition. Elle aborde ensuite certains éléments essentiels de l’établissement d’une culture de la concurrence. Idéalement, ce processus devrait tout d’abord consister en une « évaluation des besoins » dans différents domaines, qui permettra probablement de dresser une liste de mesures à hiérarchiser et à prendre.
L’objectif de ce travail est de proposer un plan de formation des différents catégories d'acteurs (à identifier) dans le but d'apporter une contribution significative au renforcement de capacité dans chaque pays et dans la sous-région. Des actions précises visant à permettre aux acteurs de lever les éventuels blocages institutionnels devront accompagner ce processus de renforcement des capacités, notamment en ce qui concerne la négociation, le lobbying, la mise en réseau etc.
Les résultats attendus de ce travail sont :