L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.
En 2006, un rapport de la FAO pointait du doigt l’élevage comme l’un des principaux responsables du réchauffement climatique. Si la viande semble donc bien sur le gril, faut-il pour autant tous devenir végétariens ? Dans les pays du Sud, l’élevage a une grande importance socio-économique. L’élevage est la ressource principale pour plus d’un milliard de paysans pauvres. C’est essentiellement le Nord, avec en moyenne 80kg de viande consommée par habitant et par an, qui contribue aux 18 % d’émissions de gaz à effet de serre dues à l’élevage.
L’Assemblée générale des Nations unies a annoncé que 2010 est l’Année internationale de la biodiversité. Alors que l’humanité commence seulement à tenter de résoudre les dégâts provoqués par le réchauffement climatique, la perte de la biodiversité engendrée par les activités humaines est encore plus destructrice pour la planète ! Pour les populations rurales et les paysans du Sud, la préservation de la biodiversité est vitale. Comme le dit Patrick Ten Brink, directeur de l’Institut européen des politiques environnementales : » Les écosystèmes sont le PIB des pauvres en milieu rural ».
Qu’en est-il des « activités non agricoles » ? Peuvent-elles être pensées au-delà d’une perspective de survie ? De la transformation des récoltes à la commercialisation d’artisanat culturel, en passant par le transport routier, la location de téléphone portable ou le conseil en technologies de l’information, les activités non agricoles occupent un éventail très large. Leur utilité est de plus en plus reconnue.
Chez nous, certains en rêveraient presque … fini le chant du coq à 5h du matin, les odeurs de purin dans les campagnes, les manifestations des producteurs de lait à coup de tracteurs qui bloquent les entrées des villes, et aussi terminé l’argent du contribuable «gaspillé» dans le gouffre des subventions agricoles. D’autres, avec un haussement d’épaules, ne noteraient peut-être même pas la différence.
Participatory communication in development aims to facilitate the integration of interpersonal communication methods with conventional and new media channels, with the focus on encouraging all stakeholders to participate in the process. The growth of internet-based technologies has created new opportunities for facilitating this participation and enhancing the ability of resource-poor communities to access information and support and to share experiences and knowledge.
This background note for the development of an AIS Investment Sourcebook provides a menu of tools and guidance to invest in agricultural innovation in different contexts. The content is drawn on tested good practice examples and innovative approaches with emphasis on lessons learned, benefits and impacts, implementation issues, and replicability
This brochure presents the UNDP approach to supporting capacity development and the policy statements that UNDP supports. These are backed up by ongoing research and analysis of capacity development theory, methods and applications. The services included are examples of capacity development initiatives that can be supported by UNDP or its partners. Additional UNDP resources on capacity development are listed at the end of the brochure.
The purpose of this issues paper is to provide an overview of the issues, numbers, disputes, and approaches so that contributors to SOW11 can share a common framework and consider how the innovations they describe fit into the larger international discourse. The paper is structured as follows: • Section 2 describes diverse perspectives on food security that emphasize global supply chains to feed middle-class populations in cities; smallholder farmers who still supply much of the world; and smallholder farmers who are relatively disengaged in commercial markets.
The DURAS Project, which ran from 2004 to 2008, established a truly pioneering means of integrating innovation from science with that from communities themselves. At the heart of DURAS has been its innovative competitive grants system. Following an original selection and evaluation process that placed a premium on multi-stakeholder partnerships, 12 projects were funded in Africa and Asia over a period of three years, each involving an array of disciplines and partners.