Inscrites sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco pour leur témoignage des techniques préhispaniques d’agriculture sur l’eau, les chinampas de Xochimilco sont le dernier grand espace non urbanisé de la ville de Mexico. Le site est le support d’une multitude de fonctions dont la promiscuité engendre inévitablement des tensions entre les acteurs. Localisées au cœur de la capitale, les chinampas subissent également les effets de la pression urbaine qui tend à concurrencer spatialement les autres activités et à accentuer les dégradations environnementales.
This report shows some initial results about the research project entitled GlobalOrg, on a Brazilian case study, investigating the sustainability of tropical fruit organic farming in a global food chains perspective. It was performed an analysis about the production strategies of certified units of a familiar smalholders cooperative from Itápolis-SP-Brazil.
In 2010 the Brazilian Government established a goal to reduce the emissions of greenhouse gases (GHG) by agriculture from 36.1 up to 38.9% in ten years (2010 -2020). To contribute for reaching part of this purpose in Tocantins State, Embrapa and other research and extension services partners have been conducting a project of technology transference on sustainable agricultural practices, including integrated crop-livestock-forestry (ICLF), since 2012.
In Pium, Tocantins state, Brazil, in 2012 Embrapa developed a technology transference project in partnership with the state?s rural extension service for the consolidation of low carbon emissions agriculture. The goal was to recover the degraded grasslands of the Trigueira farm (49°1'37.44"W and 10°24'58.84"S) with low cost using a crop-livestock system.
In the Amazon, slash and burn is the most common technique used by American-Indians, small farmers and even big ranches to transform forests into rural landscapes. The basis of food subsistence for diverse populations (rice, corn and bean), slash and burn is also a must for the plantation of cocoa, coffee, palms and pastures. The Amazonian rural landscape is currently dominated by pastures, occupying around 80 % of the deforested surface.
El objetivo del estudio fue evaluar el grado de sostenibilidad de agroecosistemas campesinos, a través de la aplicación del enfoque sistémico que permita una comprensión integrada de los impactos técnicos, ambientales, económicos y sociales, como base para apoyar el proceso de transición agroecológica. Para tanto se adoptaron marcos conceptuales empleadas por la Metodología MESMIS, a partir de un conjunto de atributos sistémicos para la evaluación de los agroecosistemas.
En este capítulo se describen las experiencias logradas en el proyecto conducido por Embrapa (a través de Embrapa Caprinos y Ovinos y Embrapa Semiárido) e ICARDA (2004-2008) en dos núcleos de intervención, en las comunidades de Boa Vista-Quixadá y Boqueirão, localizadas en los estados de Ceará y Pernambuco, respectivamente, además de las lecciones aprendidas que se espera sean de utilidad a iniciativas y esfuerzos similares en otras áreas de la región
Este artículo busca compreender las razones por la baja exportación de frutas en Brasil, está enfocado en las barreras arancelarias, no arancelarias y factores administrativos que afectan negativamente el desarollo de la cadena de frutas para exportación. También las políticas públicas que permitan aumenrat la competición del país en el escenario de comercio mundial son discutidas en este trabajo
Dans les régions laitières et bocagères, les exploitations agricoles sont souvent considérées comme les unités élémentaires de structuration de l’espace et du paysage rural. L’étude des logiques d’organisation des pratiques des agriculteurs apparaît ainsi comme une grille d’analyse pertinente des dynamiques de transformation de ces espaces et de ces paysages. Dans les exploitations laitières de l’Ouest Atlantique, les facteurs liés à la morphologie parcellaire (pulvérisation spatiale des parcelles, surface de l’exploitation) jouent un rôle prépondérant.
Les grandes exploitations agricoles créées dans le cadre de la loi de mise en valeur agricole de 1983 dans le Sahara algérien étaient vouées à une production céréalière sous pivot. L’objectif était de développer économiquement des régions sahariennes pour partie marginalisées, ainsi que de réduire la dépendance chronique en céréales du pays. L’État a considérablement investi pour équiper ces exploitations agricoles dans le cadre d’un vaste plan de développement rural. Mais trente ans après la parution de la loi, les réalisations demeurent limitées au regard des objectifs initiaux.