Les conséquences sur les territoires des changements climatiques d’origine anthropique sont variables dans leurs expressions comme dans leurs effets, et les territoires sont inégaux face à ces variations climatiques en termes d’exposition aux effets (fonction de facteurs physiques, sociaux, économiques, culturels, politiques, etc.) comme en termes de capacité de réponse (capacité d’appréhension, d’anticipation, de réparation, etc.).
La sécurité alimentaire en Algérie semble plus que menacée par un niveau de croissance démographique incontrôlé, par la dégradation des conditions physiques du secteur de l’agriculture, par la baisse des ressources hydriques et par le retard de développement technique de l’activité. À partir d’une revue bibliographique sur la situation actuelle du secteur agricole, le texte définit ses niveaux de développement et les défis de l’avenir auxquels ce secteur sera confronté.
IFPRI’s flagship report reviews the major food policy issues, developments, and decisions of 2016, and highlights challenges and opportunities for 2017 at the global and regional levels. This year’s report looks at the impact of rapid urban growth on food security and nutrition, and considers how food systems can be reshaped to benefit both urban and rural populations. Drawing on recent research, IFPRI researchers and other distinguished food policy experts consider a range of timely questions:
■ What do we know about the impacts of urbanization on hunger and nutrition?
The frequency of natural disasters, especially storms and floods, has been increasing globally over the last several decades. Developing countries are especially vulnerable to such disasters but are often the least capable of coping with the associated impacts because of their limited adaptive capacity. Despite the increased interest in strengthening institutional capacity, it remains a challenge for many developing countries. Institutional capacity for disaster management and risk reduction can be built through various mechanisms.
Les espaces ruraux périurbains des grandes villes d'Algérie vivent des transformations liées à trois facteurs combinés, parfois contradictoires : l'ouverture libérale, la redistribution de la rente pétrolière et l'évolution des espaces et des marchés urbains. Les exemples de la Mitidja centrale (entre Blida et Alger) et de l'Oranais en révèlent la diversité et les contrastes.
L’enjeu environnemental pour les territoires croît de façon exponentielle depuis une décennie. Les décideurs politiques s’emparent de cette mouvance et favorisent des actions qui entrent dans le projet dit durable. La Région Île-de-France choisit en partie de baser son développement territorial sur l’idéologie de l’« urban greening ». Elle met en œuvre des actions pour devenir la première Écorégion d’Europe d’ici une demi-douzaine d’années et, pour ce, favorise les mesures agro-environnementales. Un des piliers de ce développement est l’agriculture biologique.
L’alimentation en eau et la protection des milieux aquatiques sont confrontées aux pollutions diffuses d’origine agricole dans le nord-ouest de la France. Les politiques de gestion des ressources en eau s’appuient à présent sur la participation des agriculteurs afin de concevoir des solutions adaptées aux territoires. En effet, si la réglementation est nécessaire, elle n’est pas suffisante pour atteindre une qualité satisfaisante sur de nombreux bassins versants fortement pollués par les nitrates, le phosphore ou les produits phytosanitaires.
La sécheresse qui sévit dans le Sahel depuis les années 1970 a fortement réduit les productions dans les principaux secteurs d’activités que sont la pêche, l’élevage et l’agriculture. Dans le Delta Intérieur du Niger au Mali (DIN), la pêche dont le développement est intimement lié aux fluctuations inter-saisonnières et interannuelles de la crue du fleuve Niger, est en crise. Les prises ont diminué de moitié, beaucoup de pêcheurs sont partis, certains ont adopté des pratiques non durables et les règles sociales subissent d’importantes modifications.
Early applications of the innovation systems framework to developing-country agriculture suggest opportunities for more intensive and extensive analysis. There is ample scope for empirical studies to make greater use of the theoretical content available in the literature, and to employ more diverse methodologies, both qualitative and quantitative. Further, there is room to improve the relevance of empirical studies to the analysis of public policies that support science, technology, and innovation, as well as to policies that promote poverty reduction and economic growth.
This paper traces the evolution of the innovation systems framework within the agricultural sector in Sub-Saharan Africa, and presents a conceptual framework for agricultural innovation systems. The difference between innovation ecology/ecosystems and intervention-based innovations systems is highlighted, given that these two concepts are used at different levels in promoting and sustaining agricultural innovations.