This event launches a new phase of the JP RWEE that will even further enhance its holistic approach to advancing rural women’s economic empowerment by integrating a climate resilience lens to tackle deep rooted social norms which limit women’s participation and leadership in rural communities including through applying gender transformative approaches.
Une étude de terrain portant sur les effets de l’application du second pilier de la PAC en France révèle un lien étroit entre de nouvelles formes juridiques d’exploitation et l’évolution du statut des femmes dans la profession agricole. En effet, après n’avoir longtemps été que des « épouses d’agriculteurs », celles-ci sont devenues « agricultrices » à part entière. L’analyse des entretiens réalisés dans six territoires ruraux représentatifs des enjeux nationaux montre que le développement de ces exploitations sociétaires (GAEC, EARL, CUMA) donne davantage de visibilité au travail féminin.
Cet article défend l'idée que les petites exploitations agricoles doivent être placées au cœur du processus de développement, principalement dans les pays du Sud, notamment parce que la moitié des populations qui, dans le monde, souffrent de la faim, habitent des zones rurales et disposent de moins de 2 hectares, et parce que près de 2 milliards d'êtres humains dépendent de l'agriculture familiale. L'auteur, éminent représentant de la FAO, préconise l'insertion de la petite exploitation dans les circuits agro-industriels.
Los pequeños agricultores también contribuyen con las comidas escolares, incluyendo así alimentos frescos y localmente producidos que mejoran el rendimiento académico de niños y niñas y su permanencia en los centros educativos, al mismo tiempo que fortalecen la economía local. El Programa Mundial de Alimentos en Ecuador (PMA) trabaja, de manera conjunta con el Ministerio de Educación (MINEDUC), para complementar el Proyecto del Gobierno Nacional de “Intervención en la Alimentación Escolar” en centros educativos seleccionadas de la zona rural.
L’équipe d’Analyse et de Cartographie de la Vulnérabilité (VAM, Vulnerability Analysis and Mapping) du Bureau Régional pour l'Afrique de l'Ouest et Centrale (RBD, Regional Bureau Dakar) du Programme Alimentaire Mondial (PAM) a lancé une initiative régionale sur le Genre et les Marchés afin de renforcer la collecte et l’analyse de données sexospécifiques sur les rôles, les défis et l’autonomisation des femmes et des hommes dans les marchés de neuf pays de l’Afrique de l’Ouest.
To respond to the vast needs in Tanganyika, DRC, the United Nations Food and Agriculture Organization (FAO) and the World Food Programme (WFP) are implementing an integrated programme to build community resilience and strengthen agricultural value chains. Despite its vast natural resources, the DRC faces the largest hunger crisis in the world. The country continues to experience prolonged conflict – particularly in the east – contributing to large-scale population displacements, disrupting agricultural activities and impeding access to markets, schools and healthcare.
Pour répondre aux énormes besoins du Tanganyika, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM) mettent en œuvre un programme intégré visant à renforcer la résilience des communautés et à consolider les chaînes de valeur agricoles. Ceci est fait en collaboration avec le gouvernement de la RDC (au niveau national et provincial) et les partenaires coopérants, y compris les organisations humanitaires nationales et internationales.
The World Food Programme (WFP) has issued an urgent warning that 45 million people are teetering on the very edge of famine in 43 countries, with the slightest shock likely to push them over the precipice. Globally, up to 811 million people are chronically hungry, with 283 million acutely food insecure.
Against this backdrop, WFP is aiming to target 140 million people in 2021. This document outlines the general context and provides a snapshot of WFP’s work across several areas.
Ce manuel est destiné aux formateurs des organisations paysannes (OP) et à leurs membres en Afrique sub-saharienne. Le but étant de fournir une formation sur les techniques et opérations après-récolte afin d’améliorer la qualité des grains et ainsi de permettre l’augmentation des revenus et l’amélioration de la sécurité alimentaire des agriculteurs participants au programme. Dans le passé, les formations sur les opérations après-récolte n’ont pas été normalisées entre les différents pays membres du programme P4P.
Cet article revient sur l’activisme des multinationales de l’agrofourniture et de l’agroalimentaire dans la gouvernance du secteur agricole. Pour ce faire nous nous appuyons sur deux cas de figure qui ont trait à la conception et à la diffusion d’innovations à l’échelle internationale : la technique du semis direct, et la mise en place de systèmes de certification « durable » des principales matières premières agricoles.