The overarching mission of the Feed the Future Innovation Lab for Collaborative Research on Peanut Productivity & Mycotoxin Control (PMIL) is to apply leading innovative US science to improve peanut production and use, raise nutrition awareness and increase food safety in developing countries. PMIL aims to integrate two major themes – peanut production and mycotoxin research – under one roof as part of a value chain approach.
A value chain study on sweet potato was conducted in 11 districts of Malawi across all the three regions to analyze and identify bottlenecks and inherent opportunities for possible investments for upgrading and development of the value chain. The study applied both quantitative and qualitative methods to collect primary data from 94 farmers belonging to 7 farmer groups using Focus Group Discussions (FGDs), 14 traders and 16 key informants comprising policy makers, NGO representatives and scientists from both local and international research institutions.
The study began with a review of literature on Malawi’s pigeon pea sector. Specifically, the literature review examined secondary material on pigeon pea production, trade (international and export market) and consumption/demand in Malawi. The literature review also included a quick analysis of secondary data on pigeon pea to understand trends in production, productivity, marketing, pricing, processing and consumption/demand.
This work aims to understand the opportunities to enhance the Malawi's tea industry. Using value chain analysis, this study sought to address two key questions relevant to Malawi’s tea industry and the county’s policymakers:Given the constraints the industry faces, can the Tea industry in Malawi improve its competitiveness in the global tea market? and What are the opportunities and threats to the expansion of the Tea industry in Malawi?
At the request of the USAID Malawi Mission, the MEAS project (Modernizing Extension and Advisory Services – a USAID funded project) conducted a rapid scoping mission to examine the pluralistic extension system in Malawi and to develop recommendations for strengthening extension and advisory services in the country.
Cet article revient sur l’activisme des multinationales de l’agrofourniture et de l’agroalimentaire dans la gouvernance du secteur agricole. Pour ce faire nous nous appuyons sur deux cas de figure qui ont trait à la conception et à la diffusion d’innovations à l’échelle internationale : la technique du semis direct, et la mise en place de systèmes de certification « durable » des principales matières premières agricoles.
Quels sont les effets de l’implantation de méga-exploitations agricoles sur les différents groupes d’intérêt des territoires locaux ? Cette implantation provoque-t-elle de fortes ruptures ou une simple accélération des dynamiques en cours ? Sur la base d’une étude de cas à Madagascar, cet article s’intéresse aux recompositions du système agraire à Madagascar engendrées par l’installation récente d’une entreprise privée étrangère. Tandis que l’emploi se développe au bénéfice des plus petits agriculteurs, l’accès à la terre évolue au détriment des éleveurs les plus aisés.
Cet article tente de relever ce qui, en économie agricole ou agroalimentaire et en statistique agricole, contribue à définir « l’agriculture de firme » parmi l’ensemble des exploitations agricoles françaises. Même si l’exploitation familiale tend à éclater, elle reste la norme du paysage rural français. Ce qui nous intéresse ici renvoie à la « théorie de la firme », lieu de répartition stratégique entre le travail et le capital.
Fin des années 1990 : le Brésil adopte une politique agricole duale fondée sur l’appui à l’agrobusiness et à l’agriculture familiale. Dans ce contexte, l’un des principaux enjeux porte sur la définition d’un modèle agricole destiné à améliorer le soutien à une agriculture familiale longtemps niée par les politiques agricoles successives. Cet article participe à cette réflexion, toujours d’actualité, en discutant les difficultés d’accompagnement de la « modernisation » de ce type d’agriculture.
Le delta intérieur du Niger est une des régions de l’Afrique de l’Ouest les plus touchées par les attributions foncières à grande échelle : entre 400 000 et 770 000 hectares auraient ainsi été alloués sous la forme de concessions pouvant, dans certains cas, atteindre 100 000 hectares. Cet accaparement des terres a progressé à une vitesse record et renvoie à quantité de projets, disparates par le type des investisseurs impliqués et par les objectifs poursuivis.