This presentation was realized for the GFAR workshop on "Adoption of ICT Enabled Information Systems for Agricultural Development and Rural Viability" (at IAALD-AFITA-WCCA World Congress, 2008). It presents lessons learned through linking research to extension, including examples from projects in Nigeria, Colombia, Uganda ,Costa Rica, Egypt and Bhutan.
This brochure is on the Virtual Extension and Research Information and Communication Network (VERCON), a conceptual model that any country can use and adapt to improve access to agricultural information and knowledge sharing and to strengthen the linkages between rural institutions and individuals, using information and communication technologies.
Cette brochure présente le réseau virtuel de communication pour la vulgarisation et la recherche (VERCON), qui est un modèle conceptuel que tout pays peut utiliser et adapter pour améliorer l’accès à l’information agricole et le partage des connaissances, ainsi que pour renforcer les interactions entre les personnes et les institutions du monde rural. Pour cela, le réseau a recours aux technologies de l’information et de la communication.
Este folleto presenta la red virtual de comunicación sobre la extensión y la investigación (VERCON), que es un modelo conceptual que cualquier país puede utilizar y adaptar para mejorar el acceso a la información agropecuaria y el intercambio de conocimientos, así como para reforzar los vínculos entre las personas y las instituciones del mundo rural, utilizando las tecnologías de la información y la comunicación.
This paper examines the role of postsecondary agricultural education and training (AET) in sub-Saharan Africa in the context of the region’s agricultural innovation systems. Specifically, the paper looks at how AET in sub-Saharan Africa can contribute to agricultural development by strengthening innovative capacity, or the ability of individuals and organisations to introduce new products and processes that are socially or economically relevant, particularly with respect to smallholder farmers who represent the largest group of agricultural producers in the region.
Cet article revient sur l’activisme des multinationales de l’agrofourniture et de l’agroalimentaire dans la gouvernance du secteur agricole. Pour ce faire nous nous appuyons sur deux cas de figure qui ont trait à la conception et à la diffusion d’innovations à l’échelle internationale : la technique du semis direct, et la mise en place de systèmes de certification « durable » des principales matières premières agricoles.
Quels sont les effets de l’implantation de méga-exploitations agricoles sur les différents groupes d’intérêt des territoires locaux ? Cette implantation provoque-t-elle de fortes ruptures ou une simple accélération des dynamiques en cours ? Sur la base d’une étude de cas à Madagascar, cet article s’intéresse aux recompositions du système agraire à Madagascar engendrées par l’installation récente d’une entreprise privée étrangère. Tandis que l’emploi se développe au bénéfice des plus petits agriculteurs, l’accès à la terre évolue au détriment des éleveurs les plus aisés.
Cet article tente de relever ce qui, en économie agricole ou agroalimentaire et en statistique agricole, contribue à définir « l’agriculture de firme » parmi l’ensemble des exploitations agricoles françaises. Même si l’exploitation familiale tend à éclater, elle reste la norme du paysage rural français. Ce qui nous intéresse ici renvoie à la « théorie de la firme », lieu de répartition stratégique entre le travail et le capital.
Fin des années 1990 : le Brésil adopte une politique agricole duale fondée sur l’appui à l’agrobusiness et à l’agriculture familiale. Dans ce contexte, l’un des principaux enjeux porte sur la définition d’un modèle agricole destiné à améliorer le soutien à une agriculture familiale longtemps niée par les politiques agricoles successives. Cet article participe à cette réflexion, toujours d’actualité, en discutant les difficultés d’accompagnement de la « modernisation » de ce type d’agriculture.
Le delta intérieur du Niger est une des régions de l’Afrique de l’Ouest les plus touchées par les attributions foncières à grande échelle : entre 400 000 et 770 000 hectares auraient ainsi été alloués sous la forme de concessions pouvant, dans certains cas, atteindre 100 000 hectares. Cet accaparement des terres a progressé à une vitesse record et renvoie à quantité de projets, disparates par le type des investisseurs impliqués et par les objectifs poursuivis.