Cet article revient sur l’activisme des multinationales de l’agrofourniture et de l’agroalimentaire dans la gouvernance du secteur agricole. Pour ce faire nous nous appuyons sur deux cas de figure qui ont trait à la conception et à la diffusion d’innovations à l’échelle internationale : la technique du semis direct, et la mise en place de systèmes de certification « durable » des principales matières premières agricoles.
Cet article tente de relever ce qui, en économie agricole ou agroalimentaire et en statistique agricole, contribue à définir « l’agriculture de firme » parmi l’ensemble des exploitations agricoles françaises. Même si l’exploitation familiale tend à éclater, elle reste la norme du paysage rural français. Ce qui nous intéresse ici renvoie à la « théorie de la firme », lieu de répartition stratégique entre le travail et le capital.
Cet article défend l'idée que les petites exploitations agricoles doivent être placées au cœur du processus de développement, principalement dans les pays du Sud, notamment parce que la moitié des populations qui, dans le monde, souffrent de la faim, habitent des zones rurales et disposent de moins de 2 hectares, et parce que près de 2 milliards d'êtres humains dépendent de l'agriculture familiale. L'auteur, éminent représentant de la FAO, préconise l'insertion de la petite exploitation dans les circuits agro-industriels.
This brief is part of a series of ‘Legacy Products’ developed under the CGIAR Research Program on Integrated Systems for the Humid Tropics (Humidtropics – www.humidtropics.org ) to help CGIAR Research Programs integrate key ‘capacity development in systems’ concepts into their work. It introduces the rationale of capacity needs assessment, frameworks/steps and requirements.
This film describes the role of capacity development in accelerating adoption of new technologies and innovations in the CGIAR Research Program on Integrated Systems for the Humid Tropics.
Traditional approaches to innovation systems policymaking and governance often focus exclusively on the central provision of services, regulations, fiscal measures, and subsidies.
IFPRI’s flagship report reviews the major food policy issues, developments, and decisions of 2016, and highlights challenges and opportunities for 2017 at the global and regional levels. This year’s report looks at the impact of rapid urban growth on food security and nutrition, and considers how food systems can be reshaped to benefit both urban and rural populations. Drawing on recent research, IFPRI researchers and other distinguished food policy experts consider a range of timely questions:
■ What do we know about the impacts of urbanization on hunger and nutrition?
This report assesses trends in investments and human resource capacity in agricultural R&D in countries in West Asia and North Africa (WANA), focusing on developments during 2009–2012. The analysis is based on information from a set of country factsheets prepared by the Agricultural Science and Technology Indicators (ASTI) program of the International Food Policy Research Institute (IFPRI), using comprehensive datasets derived from primary surveys targeting over 300 agencies in 11 countries during 2013–2014.
Agricultural transformation and development are critical to the livelihoods of more than a billion small-scale farmers and other rural people in developing countries. Extension and advisory services play an important role in such transformation and can assist farmers with advice and information, brokering and facilitating innovations and relationships, and dealing with risks and disasters.
Quels sont les effets de l’implantation de méga-exploitations agricoles sur les différents groupes d’intérêt des territoires locaux ? Cette implantation provoque-t-elle de fortes ruptures ou une simple accélération des dynamiques en cours ? Sur la base d’une étude de cas à Madagascar, cet article s’intéresse aux recompositions du système agraire à Madagascar engendrées par l’installation récente d’une entreprise privée étrangère. Tandis que l’emploi se développe au bénéfice des plus petits agriculteurs, l’accès à la terre évolue au détriment des éleveurs les plus aisés.