Des investisseurs publics et privés, nationaux ou étrangers, lancent des programmes d’acquisition, de location ou d’utilisation contractuelle de terres agricoles dans des pays disposant de ressources foncières bon marché, où le marché foncier relève généralement de l’État (Afrique, Asie centrale, Amérique du Sud). Cette tendance s’est accélérée à la suite de la crise alimentaire du printemps 2008, puis de la crise fi nancière. Selon la FAO, entre 20 et 30 millions d’hectares de terres auraient fait l’objet de transactions ces dernières années.
Le projet CALAO – Capitalisation d’expériences d’acteurs pour le développement de techniques agroécologiques résilientes en Afrique de l’Ouest – a été mis en œuvre au cours de l’année 2017 dans le cadre du Projet d’appui à la sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest (PASANAO), financé par l’AFD et dont la maîtrise d’ouvrage est assurée par la CEDEAO.
La lutte contre la malnutrition constitue un enjeu majeur de développement, longtemps négligé. C’est pourquoi la France, aux côtés de nombreux autres bailleurs, a pris des engagements internationaux pour lutter contre la malnutrition. La sous-nutrition ne concerne pas seulement les situations d’urgence et la malnutrition relève d’un ensemble de facteurs multisectoriels, très liés à un territoire donné. Il paraissait donc nécessaire à l’Agence Française de Développement de bien ancrer la lutte contre la malnutrition dans la réalité opérationnelle.
Sur la base de 16 études de cas, nous cherchons à comprendre comment l'usage des technologies de l'information et de la communication (TIC) transforme les dispositifs de conseil agricole au Burkina Faso. Si les outils employés et les thématiques du conseil sont diversifiés, les services demeurent récents et inaboutis. Les prestataires de conseil cherchent en effet à améliorer les outils et services, dont la durabilité n'est pas encore garantie. Ceci s'explique notamment par la complexité du travail inter-organisationnel pour développer ces services.
The Foresight project Global Food and Farming Futures final report provides an overview of the evidence and discusses the challenges and choices for policy makers and others whose interests relate to all areas that interact with the food system.
This report is based on the outputs of a one week Exposure and Exchange Programme (EEP) in India hosted by the Self-employed Women’s Association (SEWA) with African women leaders of producer organizations from West and Central Africa. This report critically evaluates the SEWA model and draws conclusions relevant to African women producers organizations to better meet the challenges of raising Africa’s agricultural potential, improve incomes for small farmers, and ensure greater food security.
Participatory communication in development aims to facilitate the integration of interpersonal communication methods with conventional and new media channels, with the focus on encouraging all stakeholders to participate in the process. The growth of internet-based technologies has created new opportunities for facilitating this participation and enhancing the ability of resource-poor communities to access information and support and to share experiences and knowledge.
This is the final report of the fifth regional consultative forum meeting of the Asia-Pacific Fishery Commission (APFIC) convened in Hyderabad, India from 19 to 21 June 2014. It was attended by 85 participants from 17 countries and 28 national, regional and inter governmental partner organizations and projects. Forum participants came to the meeting to develop and reach consensus on ways of implementing policies and action plans designed to address the major challenges confronting the fisheries and aquaculture sectors in the region.
Analysis of the role of Global Value Chains (GVC) in accessing knowledge and enhancing learning and innovation. Global Value Chains, Innovation Systems, Governance, Foreign Direct Investment, Learning, Upgrading, Productivity. Three main conclusions emerge from the analytical framework and evidence presented in this paper.
This paper explores the application of the innovation systems framework to the design and construction of national agricultural innovation indicators. Optimally, these indicators could be used to gauge and benchmark national performance in developing more responsive, dynamic, and innovative agricultural sectors in developing countries.