This paper discusses external influences on innovation platforms (IPs) and the options for effective responses. The platforms examined in this paper were conceived as vehicles for facilitating institutional change in support of innovation that benefits smallholders, in selected agro-enterprise domains in Benin, Ghana and Mali. They were designed and implemented in a manner that enabled experimentation with processes of change in the selected domains.
This report shows some initial results about the research project entitled GlobalOrg, on a Brazilian case study, investigating the sustainability of tropical fruit organic farming in a global food chains perspective. It was performed an analysis about the production strategies of certified units of a familiar smalholders cooperative from Itápolis-SP-Brazil.
In the Amazon, slash and burn is the most common technique used by American-Indians, small farmers and even big ranches to transform forests into rural landscapes. The basis of food subsistence for diverse populations (rice, corn and bean), slash and burn is also a must for the plantation of cocoa, coffee, palms and pastures. The Amazonian rural landscape is currently dominated by pastures, occupying around 80 % of the deforested surface.
El objetivo del estudio fue evaluar el grado de sostenibilidad de agroecosistemas campesinos, a través de la aplicación del enfoque sistémico que permita una comprensión integrada de los impactos técnicos, ambientales, económicos y sociales, como base para apoyar el proceso de transición agroecológica. Para tanto se adoptaron marcos conceptuales empleadas por la Metodología MESMIS, a partir de un conjunto de atributos sistémicos para la evaluación de los agroecosistemas.
Le développement de l'agriculture organique au Brésil prend des formes multiples. Au travers de leur expérience de l'AO, dans une communauté proche de trois métropoles, de petits maraîchers d'Ibiúna (São Paulo) créent des entités collectives et expérimentent de nouvelles pratiques sociales.
La façon donc les organismes de recherche et d'appui aux agriculteurs participent aux processus de développement de l'agriculture et du monde rural fait l'objet de débats. Ceux-ci portent à la fois sur la compréhension des besoins réels des agriculteurs et sur les formes de coordination entre les différents acteurs de la production de connaissances traduisibles en actions. Nous proposons d'illustrer cette problématique à partir d'un programme de coopération franco-argentin Innovaciones, Desarrollo, Exploitationes Agropecuarias, Sociedad local (IDEAS), engagé en Argentine en 1995-1996.
Ce texte présente les premiers résultats d’une étude sur la contribution de groupes d’agriculteurs familiaux aux processus d’innovation dans trois municipes de la Paraíba (Brésil). L’objectif consistait à identifier le rôle des producteurs et de leurs organisations en matière d’introduction et d’adaptation de techniques agricoles.
De nombreux agriculteurs africains pratiquent des formes d'agriculture potentiellement qualifiables de "?biologiques?". Pourtant, la capacité de l'agriculture biologique à répondre aux enjeux de la sécurité alimentaire en Afrique est encore mal connue, car il existe peu de références expérimentales disponibles dans cette région. L'élicitation probabiliste est une méthode permettant de rendre compte de manière précise des connaissances d'experts sur une ou plusieurs quantités d'intérêt, et de décrire les niveaux d'incertitude associés.
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.
L’eau d’irrigation est une ressource cruciale pour le développement économique et social en Tunisie. Dans un contexte de décentralisation et de délégation du rôle de l’État, une part importante de la gestion de cette eau d’irrigation a été confiée aux groupements de développement agricole (GDA). Ces groupements souffrent cependant d’un manque de reconnaissance de la part des usagers, qui se manifeste essentiellement par un faible consentement de leur part à payer les redevances.