The challenges of providing food security for the developing world have perhaps never been so extreme, with the introduction of new technologies being matched by land degradation, water concerns and the often uncertain impacts of a changing climate. In short, we will need to produce more food on less land. Adding to the problem is the distrust and fear around some new technologies – particularly biotechnologies – that have created a divide between scientists and farmers, decision makers and the public. There have been many attempts to bridge these divides, but few success stories.
Though Odisha is India’s top sweetpotato-producing state, most farmers grow low-yielding varieties of limited nutritional value. The Odisha Directorate of Horticulture and the International Potato Center (CIP) spent four years promoting improved varieties and good agricultural practices in four districts of Odisha, resulting in a 25 per cent growth in the area dedicated to the crop, a 17 per cent increase in farm productivity, and a 40 per cent increase in farmer incomes within the project areas; as well as the introduction of a nutritious, orange-fleshed sweetpotato variety.
A network of women farmers’ leaders is set to drive widespread adoption of innovations and technologies across India. The International Rice Research Institute (IRRI), together with the Department of Biotechnology of India’s Ministry of Science and Technology, are training women farmer leaders on advanced rice production and soft skills to help boost food security in India.
The Asia-Pacific Association of Agricultural Research Institutions (APAARI) in collaboration with the Australian Centre for International Agricultural Research (ACIAR), Department of Agriculture (DOA), Thailand, Food and Agriculture Organization of the United Nations – Regional Office for Asia and the Pacific (FAO RAP), Global Forum on Agricultural Research (GFAR) and International Food Policy Research Institute (IFPRI), organized a High Level Policy Dialogue (HLPD) on Investment in Agricultural Research for Sustainable Development in Asia and the Pacific on 8-9 December 2015 in Bangkok, Th
Ce texte présente les premiers résultats d’une étude sur la contribution de groupes d’agriculteurs familiaux aux processus d’innovation dans trois municipes de la Paraíba (Brésil). L’objectif consistait à identifier le rôle des producteurs et de leurs organisations en matière d’introduction et d’adaptation de techniques agricoles.
De nombreux agriculteurs africains pratiquent des formes d'agriculture potentiellement qualifiables de "?biologiques?". Pourtant, la capacité de l'agriculture biologique à répondre aux enjeux de la sécurité alimentaire en Afrique est encore mal connue, car il existe peu de références expérimentales disponibles dans cette région. L'élicitation probabiliste est une méthode permettant de rendre compte de manière précise des connaissances d'experts sur une ou plusieurs quantités d'intérêt, et de décrire les niveaux d'incertitude associés.
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.
L’eau d’irrigation est une ressource cruciale pour le développement économique et social en Tunisie. Dans un contexte de décentralisation et de délégation du rôle de l’État, une part importante de la gestion de cette eau d’irrigation a été confiée aux groupements de développement agricole (GDA). Ces groupements souffrent cependant d’un manque de reconnaissance de la part des usagers, qui se manifeste essentiellement par un faible consentement de leur part à payer les redevances.
La crise économique et sanitaire due à la Covid-19 interpelle les trajectoires de reconfiguration des systèmes alimentaires en République du Congo. Elle questionne la capacité des mesures de régulation prises par les pouvoirs publics et des stratégies d’adaptation des acteurs à induire des inflexions dans la gouvernance structurelle du système alimentaire du pays. L’article analyse les stratégies d’adaptation à la crise en mobilisant des données secondaires et des expériences d’accompagnement de politiques publiques agricoles et alimentaires conduites par les auteurs.
La crise liée au SARS-CoV2 (syndrome respiratoire aigu sévère–coronavirus 2) a donné lieu à une profusion de documents et webinaires sur la sécurité alimentaire au niveau international, ce qui tend à brouiller la compréhension des dynamiques à l’œuvre sur le terrain. Cet article se propose de faire le point sur la situation des secteurs agricole et agroalimentaire, à partir des informations relayées par un réseau d’experts du Cirad et de leurs partenaires dans une diversité de pays en Afrique subsaharienne.