The Sourcebook is the outcome of joint planning, continued interest in gender and agriculture, and concerted efforts by the World Bank, FAO, and IFAD. The purpose of the Sourcebook is to act as a guide for practitioners and technical staff inaddressing gender issues and integrating gender-responsive actions in the design and implementation of agricultural projects and programs. It speaks not with gender specialists on how to improve their skills but rather reaches out to technical experts to guide them in thinking through how to integrate gender dimensions into their operations.
Over the last 10 years much has been written about the role of the private sector as part of a more widely-conceived notion of agricultural sector capacity for innovation and development. This paper discusses the emergence of a new class of private enterprise in East Africa that would seem to have an important role in efforts to tackle poverty reduction and food security. These organisations appear to occupy a niche that sits between mainstream for-profit enterprises and the developmental activities of government programmes, NGOs and development projects.
TAP and its partners carried out regional surveys in Asia, Africa and Central America to assess priorities, capacities and needs in national agricultural innovation systems. This document provides a Regional synthesis report on capacity needs assessment for agricultural innovation in Africa. FARA was selected as Recipient Organization by FAO to facilitate TAP implementation in Africa. This is mainly due to its position as the umbrella organization bringing together and forming coalitions of major regional stakeholders in agricultural research and development.
La façon donc les organismes de recherche et d'appui aux agriculteurs participent aux processus de développement de l'agriculture et du monde rural fait l'objet de débats. Ceux-ci portent à la fois sur la compréhension des besoins réels des agriculteurs et sur les formes de coordination entre les différents acteurs de la production de connaissances traduisibles en actions. Nous proposons d'illustrer cette problématique à partir d'un programme de coopération franco-argentin Innovaciones, Desarrollo, Exploitationes Agropecuarias, Sociedad local (IDEAS), engagé en Argentine en 1995-1996.
De nombreux agriculteurs africains pratiquent des formes d'agriculture potentiellement qualifiables de "?biologiques?". Pourtant, la capacité de l'agriculture biologique à répondre aux enjeux de la sécurité alimentaire en Afrique est encore mal connue, car il existe peu de références expérimentales disponibles dans cette région. L'élicitation probabiliste est une méthode permettant de rendre compte de manière précise des connaissances d'experts sur une ou plusieurs quantités d'intérêt, et de décrire les niveaux d'incertitude associés.
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.
L’eau d’irrigation est une ressource cruciale pour le développement économique et social en Tunisie. Dans un contexte de décentralisation et de délégation du rôle de l’État, une part importante de la gestion de cette eau d’irrigation a été confiée aux groupements de développement agricole (GDA). Ces groupements souffrent cependant d’un manque de reconnaissance de la part des usagers, qui se manifeste essentiellement par un faible consentement de leur part à payer les redevances.
Les démarches participatives suscitent un intérêt grandissant en tant que pratiques de recherche en agriculture. Dans l'objectif de faciliter les échanges de pratiques entre chercheurs, cet article propose une grille d'analyse qui appréhende le processus de participation de façon globale et dynamique.
La consommation de produits certifiés n’est plus l’apanage des pays développés. Au Kenya, les premiers marchés biologiques sont apparus à Nairobi en 2006. Ils sont approvisionnés par des maraîchers, confrontés à une diversité de défis : construire une certification biologique crédible, garantir la fraîcheur des produits et composer avec l’hétérogénéité des attentes des consommateurs. À partir de données d’enquête et du cadre analytique des coûts de transaction, nous analysons l’organisation des marchés de 2006 à 2013.
This paper presents an overview of current opportunities and challenges facing efforts to increase the impact of rural and agricultural extension. The starting point for this analysis is in recognition that the days when agricultural extension was synonymous with the work of public sector agencies are over.