Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
La stratégie de Lisbonne met en avant la nécessité de stimuler la croissance et de créer des emplois dans les zones rurales, elle vise à renouveler les bases de la compétitivité européenne, à augmenter son potentiel de croissance ainsi que sa productivité et à renforcer la cohésion sociale en misant principalement sur la connaissance, l’innovation et la valorisation du capital humain.
Nouvel instrument communautaire mobilisant la politique de recherche et la PAC, le PEI entend susciter des partenariats entre les acteurs du développement, de l’enseignement agricole, les agriculteurs, les chercheurs et les entreprises. En cela, il reflète l’évolution récente du cadre de pensée des institutions internationales, qui voient dans l’innovation agricole moins le produit de la recherche et du transfert de connaissances que le résultat d’interactions entre acteurs au sein de réseaux plus ou moins formels.
Le secteur agricole est le premier employeur au niveau mondial et les actifs familiaux forment l'essentiel de cette force de travail. L'agriculture familiale produit plus de 70 % de la production alimentaire et gère une proportion considérable des ressources naturelles. Ce modèle d'agriculture caractérisé par sa diversité et sa résilience, a la capacité de proposer des réponses adaptées aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. La reconnaissance et le soutien aux agricultures familiales sont indispensables pour lutter contre la pauvreté et construire un développement durable.
The Agribusiness for Trade Competitiveness Project (ATC-P), branded as Katalyst, is a pioneer market systems development project contributing to sustainable poverty reduction in Bangladesh. It is implemented by Swisscontact under the umbrella of the Ministry of Commerce, Government of Bangladesh. The project has been operating in Bangladesh since 2003 in three phases.
Katalyst has identified that Bangladesh’s craft sector possesses a vast potential to contribute to women’s economic empowerment (WEE). . The ‘Empowering Women in Craft’ publication shows how an innovative partnership between Katalyst and BRAC-Aarong provides new perspectives for independent producers and women artisans in the craft industry.
This booklet describes some recent, stand-out innovations and achievements that are the fruits of this future-oriented partnership, fully supported by the Katalyst project. As Katalyst is in its third phase of operations, some of the milestone achievements of the project are reviewed. The project expects to expand on these successful models to be implemented throughout Bangladesh.
Voices of Change brings you stories that are representative of the wide range of Katalyst’s work across Bangladesh. The project uses the market development approach, which is an indirect way of working to change the existing market systems as a means to benefit the poor people. In these stories, the beneficiaries share with you the constraints they faced as well as the solutions they found to bring about radical changes in their lives.
In 2014-2016, Katalyst project and the Bangladesh Crop Protection Association (BCPA) extended their work by training farmers, women, retailers and pesticide spray men on the safe and judicious use of pesticides (SUP). This initiative improved the ability of farmers to select the right types of pesticide, and to use them appropriately with the correct dosage.
Earlier high-value Tilapia, Koi and Pangus fry are mostly bought by lead farmers only while small farmers use low-yielding local species. A breakthrough was reached during Phase 2 of the Katalyst project, when hatcheries started marketing high-yielding fish fingerlings to small farmers. The promotion included pond management and cultivation improvements that further increased farmers’ productivity.