Le secteur agricole est le premier employeur au niveau mondial et les actifs familiaux forment l'essentiel de cette force de travail. L'agriculture familiale produit plus de 70 % de la production alimentaire et gère une proportion considérable des ressources naturelles. Ce modèle d'agriculture caractérisé par sa diversité et sa résilience, a la capacité de proposer des réponses adaptées aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. La reconnaissance et le soutien aux agricultures familiales sont indispensables pour lutter contre la pauvreté et construire un développement durable.
Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
La stratégie de Lisbonne met en avant la nécessité de stimuler la croissance et de créer des emplois dans les zones rurales, elle vise à renouveler les bases de la compétitivité européenne, à augmenter son potentiel de croissance ainsi que sa productivité et à renforcer la cohésion sociale en misant principalement sur la connaissance, l’innovation et la valorisation du capital humain.
Nouvel instrument communautaire mobilisant la politique de recherche et la PAC, le PEI entend susciter des partenariats entre les acteurs du développement, de l’enseignement agricole, les agriculteurs, les chercheurs et les entreprises. En cela, il reflète l’évolution récente du cadre de pensée des institutions internationales, qui voient dans l’innovation agricole moins le produit de la recherche et du transfert de connaissances que le résultat d’interactions entre acteurs au sein de réseaux plus ou moins formels.
The objective of this Guide is to recommend a process and set of steps for an organization to prepare, establish and to develop effective Water Users Associations (WUA) suitable to Tajikistan. It summarizes lessons learned in Tajikistan, by two donor finance projects, which established and trained 97 WUAs. Establishment of WUAs is essential in order to solve existing problems in the irrigation sector and other challenges faced by farmers and other water users3 .
The USAID-funded Strengthening Sustainable Ecotourism in and around Nyungwe National Park Project, otherwise known as Nyungwe Nziza or beautiful Nyungwe, is working to transform Nyungwe National Park into a viable ecotourism destination, capable of generating employment and sustainable and equitable income for local communities and other stakeholders, thus providing economic incentives to conserve the rich biodiversity of the Park.
In an effort to raise incomes and increase resilience of smallholder farmers and their families in Feed the Future1 (FTF) countries, the United States Agency for International Development (USAID) funded the Developing Local Extension Capacity (DLEC) project. This project is led by Digital Green in partnership with the International Food Policy Research Institute (IFPRI), CARE International (CARE) and multiple resource partners.
The Feed the Future Uganda Agricultural Inputs Activity is to increase the use of high quality agricultural inputs in Uganda by increasing availability of high quality inputs to farmers in Feed the Future focus districts, and decreasing the prevalence of counterfeit agricultural inputs.
As the world’s most youthful country, it sits on the cusp of being able to harness the youth dividend. Without a more broadly diversified economy, seizing the opportunities presented by Uganda’s youthful demographic will call for understanding both young people, and a focus on the aspects of agriculture that will need to grow and change to meet the challenge.
The youth crisis has recently received much attention from the global community, particularly in how it intersects with the future of agriculture. Causes of the youth crisis include univeral youth disinterest in agriculture, deskilled youth populations, lack of access to resources, gender disparity and lack of reliable data regarding youth in agriculture.