Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
La stratégie de Lisbonne met en avant la nécessité de stimuler la croissance et de créer des emplois dans les zones rurales, elle vise à renouveler les bases de la compétitivité européenne, à augmenter son potentiel de croissance ainsi que sa productivité et à renforcer la cohésion sociale en misant principalement sur la connaissance, l’innovation et la valorisation du capital humain.
Nouvel instrument communautaire mobilisant la politique de recherche et la PAC, le PEI entend susciter des partenariats entre les acteurs du développement, de l’enseignement agricole, les agriculteurs, les chercheurs et les entreprises. En cela, il reflète l’évolution récente du cadre de pensée des institutions internationales, qui voient dans l’innovation agricole moins le produit de la recherche et du transfert de connaissances que le résultat d’interactions entre acteurs au sein de réseaux plus ou moins formels.
Le secteur agricole est le premier employeur au niveau mondial et les actifs familiaux forment l'essentiel de cette force de travail. L'agriculture familiale produit plus de 70 % de la production alimentaire et gère une proportion considérable des ressources naturelles. Ce modèle d'agriculture caractérisé par sa diversité et sa résilience, a la capacité de proposer des réponses adaptées aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. La reconnaissance et le soutien aux agricultures familiales sont indispensables pour lutter contre la pauvreté et construire un développement durable.
Given the diversity and context-specificity of innovation systems approaches, in March 2007 the World Bank organized a workshop in which about 80 experts (representing donor agencies, development and related agencies, academia, and the World Bank) took stock of recent experiences with innovation systems in agriculture and reconsidered strategies for their future development. This paper summarizes the workshop findings and uses them to develop and discuss key issues in applying the innovation systems concept. The workshop’s recommendations, including next steps for the wider
The first phase in the development of the Common Framework on Capacity Development for Agricultural Innovation systems (CD for AIS) consisted of the review of the existing literature, building up a repository of relevant documentation on agricultural innovation in general and AIS and CD for AIS. This report summarizes this first phase. In particular, Section 1 covers this brief introduction. Sections two and three focus on the review of relevant literature, presenting the methodology used and the structure of the repository itself.
Farmers Training Center (FTC)-based farmer training is an emerging extension strategy geared towards human capital development through need-based, hands-on practical training in order to facilitate agricultural transformation and rural livelihood improvement. Although FTCs were established and made functional in the Tigray National Regional State and Alamata Woreda no systematic assessment of the relevance and effectiveness of the training were made.
This study explores the role of gender-based decision-making in the adoption of improved maize varieties. The primary data were collected in 2018 from 560 farm households in Dawuro Zone, Ethiopia, and were comparatively analyzed across gender categories of households: male decision-making, female decision-making and joint decision-making, using a double-hurdle model. The results show that the intensity of improved maize varieties adopted on plots managed by male, female, and joint decision-making households are significantly different.
While education access has improved globally, gains are uneven, and development impacts driven by increases in education continue to be left on the table, especially in rural areas. Demand-driven extension and advisory services (EAS) – as a key institution educating rural people while providing agricultural advice and supplying inputs – have a critical role to play in bridging the education gap. This can help ensure that millions of young people successfully capitalise on opportunities in agriculture markets, as surveys in Rwanda and Uganda demonstrate.
Pendant des décennies, la faiblesse des investissements publics dans l’agriculture a laissé les agriculteurs extrêmement vulnérables face à l’instabilité des prix, aux crises climatiques et économiques, et sans moyen pour sortir de la pauvreté. Les bailleurs de fonds et les gouvernements doivent concevoir le soutien à l’agriculture comme partie intégrante de la solution à long terme aux crises alimentaires, financières et climatiques.