Nouvel instrument communautaire mobilisant la politique de recherche et la PAC, le PEI entend susciter des partenariats entre les acteurs du développement, de l’enseignement agricole, les agriculteurs, les chercheurs et les entreprises. En cela, il reflète l’évolution récente du cadre de pensée des institutions internationales, qui voient dans l’innovation agricole moins le produit de la recherche et du transfert de connaissances que le résultat d’interactions entre acteurs au sein de réseaux plus ou moins formels.
Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
La stratégie de Lisbonne met en avant la nécessité de stimuler la croissance et de créer des emplois dans les zones rurales, elle vise à renouveler les bases de la compétitivité européenne, à augmenter son potentiel de croissance ainsi que sa productivité et à renforcer la cohésion sociale en misant principalement sur la connaissance, l’innovation et la valorisation du capital humain.
Face à la dégradation des ressources naturelles liée à la surexploitation, à la croissance démographique et au changement climatique, les services nationaux de vulgarisation en Tunisie nécessitent une révision de leurs priorités et une réforme de leurs modes de prestation de services.
Genetic improvement on local breeds kept by small farmers in developing countries is challenging. Even though good pedigree and performance recording is crucial and an important component of breeding programs, it remain difficult or next to impossible under conditions of subsistence livestock farming. This means that standard genetic evaluations, as well as selection and planning of mating based on estimates of the animals' genotypes, cannot be done at any level in the population of the target breed or genetic group.
- Lack of automated data capture systems affects timely feedback and accuracy of information for breeding decisions.
- CGIAR researchers and national research partners have adopted a digital genetic database, Dtreo, that is enhancing genetic improvement by providing timely and accurate animal ranking information to communities.
- Dtreo is a digital genetic database that is flexible and easy to use, that allows users to capture and save data offline. Data is uploaded to the database once an internet connection has been established.
The 2014 Annual workshop of the CGIAR Consortium CapDev Community of Practice was held from September 10–12, 2014 at CGIAR Consortium Headquarters, Montpellier, France.The workshop was planned by a CapDev Convening Committee comprised of Iddo Dror (ILRI), Diana Brandes (Livestock & Fish), Per Rudebjer (Bioversity), Simone Staiger (CIAT), Mehmood Hassan (ICRAF), Javier Ekboir (ILAC), Alain Vidal/Luis Solorzano (Consortium Office) and a facilitator Nadia Manning-Thomas.
Le secteur agricole est le premier employeur au niveau mondial et les actifs familiaux forment l'essentiel de cette force de travail. L'agriculture familiale produit plus de 70 % de la production alimentaire et gère une proportion considérable des ressources naturelles. Ce modèle d'agriculture caractérisé par sa diversité et sa résilience, a la capacité de proposer des réponses adaptées aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. La reconnaissance et le soutien aux agricultures familiales sont indispensables pour lutter contre la pauvreté et construire un développement durable.
Heat-tolerant wheat varieties, developed by ICARDA and Sudan’s Agricultural Research Corporation (ARC), are helping farmers adapt to the heat stress, however, bringing higher and more stable yields. Farmers across the wheatproducing regions of Sudan are now achieving up to six t/ha over successive growing seasons.
The impressive performance of improved varieties of high-yielding, heat-tolerant wheat developed in Sudan has convinced Nigerian decision makers that a viable solution to their country’s growing dependence on wheat imports is domestic production – a policy shift that will protect Nigerians from the vagaries of global commodity markets and strengthen national food security. The brief describes this solution.