La stratégie de Lisbonne met en avant la nécessité de stimuler la croissance et de créer des emplois dans les zones rurales, elle vise à renouveler les bases de la compétitivité européenne, à augmenter son potentiel de croissance ainsi que sa productivité et à renforcer la cohésion sociale en misant principalement sur la connaissance, l’innovation et la valorisation du capital humain.
Nouvel instrument communautaire mobilisant la politique de recherche et la PAC, le PEI entend susciter des partenariats entre les acteurs du développement, de l’enseignement agricole, les agriculteurs, les chercheurs et les entreprises. En cela, il reflète l’évolution récente du cadre de pensée des institutions internationales, qui voient dans l’innovation agricole moins le produit de la recherche et du transfert de connaissances que le résultat d’interactions entre acteurs au sein de réseaux plus ou moins formels.
Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
Des investisseurs publics et privés, nationaux ou étrangers, lancent des programmes d’acquisition, de location ou d’utilisation contractuelle de terres agricoles dans des pays disposant de ressources foncières bon marché, où le marché foncier relève généralement de l’État (Afrique, Asie centrale, Amérique du Sud). Cette tendance s’est accélérée à la suite de la crise alimentaire du printemps 2008, puis de la crise fi nancière. Selon la FAO, entre 20 et 30 millions d’hectares de terres auraient fait l’objet de transactions ces dernières années.
This report compiles country-reports that describe the agri-food research landscape in 2006/2007 in 33 countries associated to the 6th Framework Programme (FP6), which defined the European for the period from 2002 to 2006. Each country-report presents information about the main research players in 2006/2007 and about the current trends and the future needs for research topics and for the organisation of the agri-food research system.
This document provides a review of existing reports regarding the agri-food research landscape in 2006/2007 for 14 EU countries (Bulgaria, Croatia, Cyprus, Czech Republic, Estonia, Hungary, Latvia, Lithuania, Malta, Poland, Romania, Slovakia, Slovenia, Turkey) and also explores trends and needs in other EU or associated countries (Austria, Belgium, Denmark, Finland, France, Germany, Greece, Iceland, Ireland, Israel, Italy, Luxembourg, Norway, Portugal, Spain, Sweden, Switzerland, The Netherlands, United Kingdom).
This report presents the results of a study that shall contribute to provide information on the national organisation of agricultural research and an overall picture of developments in agricultural research in 33 selected countries (current EU28 plus Iceland, Israel, Norway, Switzerland and Turkey). The study covers all areas related to agricultural and food research research including research dedicated to emerging challenges of the European agricultural and food sector in 2006/2007.
The ‘Mapping Report’ is the synthesis of the statistical information and the survey results available to describe agrifood research in European countries. The main source of information was the results of a bibliometric analysis (in the EU-33 countries), a web-assisted survey (in the EU-12+2 countries) and the country reports (for the EU-15 countries) prepared in the AgriMapping project frame in 2006 and 2007. When relevant, available complementary statistics were also used.
Le projet CALAO – Capitalisation d’expériences d’acteurs pour le développement de techniques agroécologiques résilientes en Afrique de l’Ouest – a été mis en œuvre au cours de l’année 2017 dans le cadre du Projet d’appui à la sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest (PASANAO), financé par l’AFD et dont la maîtrise d’ouvrage est assurée par la CEDEAO.
La lutte contre la malnutrition constitue un enjeu majeur de développement, longtemps négligé. C’est pourquoi la France, aux côtés de nombreux autres bailleurs, a pris des engagements internationaux pour lutter contre la malnutrition. La sous-nutrition ne concerne pas seulement les situations d’urgence et la malnutrition relève d’un ensemble de facteurs multisectoriels, très liés à un territoire donné. Il paraissait donc nécessaire à l’Agence Française de Développement de bien ancrer la lutte contre la malnutrition dans la réalité opérationnelle.