Le secteur agricole est le premier employeur au niveau mondial et les actifs familiaux forment l'essentiel de cette force de travail. L'agriculture familiale produit plus de 70 % de la production alimentaire et gère une proportion considérable des ressources naturelles. Ce modèle d'agriculture caractérisé par sa diversité et sa résilience, a la capacité de proposer des réponses adaptées aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. La reconnaissance et le soutien aux agricultures familiales sont indispensables pour lutter contre la pauvreté et construire un développement durable.
Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
Nouvel instrument communautaire mobilisant la politique de recherche et la PAC, le PEI entend susciter des partenariats entre les acteurs du développement, de l’enseignement agricole, les agriculteurs, les chercheurs et les entreprises. En cela, il reflète l’évolution récente du cadre de pensée des institutions internationales, qui voient dans l’innovation agricole moins le produit de la recherche et du transfert de connaissances que le résultat d’interactions entre acteurs au sein de réseaux plus ou moins formels.
La stratégie de Lisbonne met en avant la nécessité de stimuler la croissance et de créer des emplois dans les zones rurales, elle vise à renouveler les bases de la compétitivité européenne, à augmenter son potentiel de croissance ainsi que sa productivité et à renforcer la cohésion sociale en misant principalement sur la connaissance, l’innovation et la valorisation du capital humain.
This Economic and Sector Work paper, “Enhancing Agricultural Innovation: How to Go Beyond the Strengthening of Research Systems,” was initiated as a result of the international workshop, “Development of Research Systems to Support the Changing Agricultural Sector,” organized by the Agriculture and Rural Development Department of the World Bank in June 2004 in Washington, DC.
This synthesis report presents the outputs of the workshop organised by CTA at its headquarters in Wageningen, The Netherlands, 15-17 July 2008. The outputs are presented in two main parts, each corresponding to one of the workshop objectives, and ends with a section on the way forward as suggested by the workshop participants. It also includes a first attempt to come to a consolidated generic framework on AIS performance indicators, based on the outputs of the different working groups.
This paper draws lessons from selected country experiences of adaptation and innovation in pursuit of food security goals.
LenCD has prepared a joint statement on results and capacity development (presented in this publication), which stresses that meaningful, sustainable results are premised on proper investments in capacity development and that these results materialize at different levels and at different times, along countries’ development trajectory. To provide evidence in support of this statement, LenCD launched a call for submission of stories.
This report provides a synthesis of all findings and information generated through a “stocktaking” process that involved a desk study of Prolinnova documents and evaluation reports, a questionnaire to 40 staff members of international organizations in agricultural research and development (ARD), self-assessment by the Country Platforms (CPs) and backstopping visits to five CPs. In 2014, the Prolinnova network saw a need to re-strategise in a changing context, and started this process by reviewing the activities it had undertaken and assessing its own functioning.
PAEPARD supports/facilitates three aflatoxin-related research consortia: (a) Stemming aflatoxin pre- and post-harvest waste in the groundnut value chain in Malawi and Zambia; (b) Developing strategies to reduce fungal toxins contamination for improved food sufficiency, nutrition and incomes along the maize value chain in the arid and semi-arid lands of Eastern Kenya; and (c) Developing feed management protocols for dairy farmers in high rainfall areas in Kenya.