The paper explores the strength of social networks in the agricultural innovation systems (AISs) in Ghana and the effect of AISs on adoption of improved farm technology. The paper uses social network analysis (SNA) tools to identify, map and analyze the AISs and the two-stage Heckman selection model. Combining qualitative and quantitative methods allows testing the differential effects of social networks on technology adoption in the Ghananian Plantain Sector
This paper discusses external influences on innovation platforms (IPs) and the options for effective responses. The platforms examined in this paper were conceived as vehicles for facilitating institutional change in support of innovation that benefits smallholders, in selected agro-enterprise domains in Benin, Ghana and Mali. They were designed and implemented in a manner that enabled experimentation with processes of change in the selected domains.
Agriculture faces an enormous global challenge of feeding nine billion people by 2050. This means a comprehensive intensification of agriculture is required. Ecological intensification is gaining momentum as a clearly defined vision for increasing agriculture productivity and sustainability. How ecological intensification could be tailored to benefit smallholder farming systems in sub-Saharan Africa (SSA) remains the major question. In this study, we develop pathways relying on ecological intensification technologies and suiting different farm types of smallholder agriculture.
Ce texte présente les premiers résultats d’une étude sur la contribution de groupes d’agriculteurs familiaux aux processus d’innovation dans trois municipes de la Paraíba (Brésil). L’objectif consistait à identifier le rôle des producteurs et de leurs organisations en matière d’introduction et d’adaptation de techniques agricoles.
De nombreux agriculteurs africains pratiquent des formes d'agriculture potentiellement qualifiables de "?biologiques?". Pourtant, la capacité de l'agriculture biologique à répondre aux enjeux de la sécurité alimentaire en Afrique est encore mal connue, car il existe peu de références expérimentales disponibles dans cette région. L'élicitation probabiliste est une méthode permettant de rendre compte de manière précise des connaissances d'experts sur une ou plusieurs quantités d'intérêt, et de décrire les niveaux d'incertitude associés.
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.
L’eau d’irrigation est une ressource cruciale pour le développement économique et social en Tunisie. Dans un contexte de décentralisation et de délégation du rôle de l’État, une part importante de la gestion de cette eau d’irrigation a été confiée aux groupements de développement agricole (GDA). Ces groupements souffrent cependant d’un manque de reconnaissance de la part des usagers, qui se manifeste essentiellement par un faible consentement de leur part à payer les redevances.
La crise liée au SARS-CoV2 (syndrome respiratoire aigu sévère–coronavirus 2) a donné lieu à une profusion de documents et webinaires sur la sécurité alimentaire au niveau international, ce qui tend à brouiller la compréhension des dynamiques à l’œuvre sur le terrain. Cet article se propose de faire le point sur la situation des secteurs agricole et agroalimentaire, à partir des informations relayées par un réseau d’experts du Cirad et de leurs partenaires dans une diversité de pays en Afrique subsaharienne.
L'agriculture intelligente face au climat (climate-smart agriculture – CSA) a comme objectifs d'être adaptée au changement climatique et de l'atténuer, tout en contribuant de manière durable à la sécurité alimentaire. Né en 2010 à l'initiative de la FAO, le concept a fait école et se décline désormais en diverses pratiques qui prennent en compte ces objectifs de manière différente. Les pratiques agroécologiques de couverture permanente du sol, par des arbres ou des cultures, sont parmi les plus courantes.