This review aims to identify key issues and opportunities needed to bring current Agricultural Education and Training (AET) systems up to the needed capacity. This paper first looks at the opportunities identified in the preliminary research. Next the paper looks at some of the many pitfalls learned from previous AET work that should be avoided moving forward. Lastly the paper gives a brief explanation for some of the key areas that the preliminary research identified as requiring further research and study in a modern day context.
En Europe, depuis trois décennies, la prise en compte des enjeux environnementaux dans les politiques agricoles se traduit, en partie, par la conception de Mesures agrienvironnementales (MAE), visant à promouvoir le changement de pratiques. En France, ces mesures ont été mobilisées dans différents modèles de contrats avec les agriculteurs, passant d’un paradigme basé sur la subvention de la multifonctionnalité d’une exploitation agricole à une compensation des surcoûts liés à l’adoption de nouvelles pratiques plus vertueuses au niveau des parcelles.
L’agriculture de conservation (AC) obéit à trois principes : travail du sol minimal, couverture du sol permanente et multiculture. Partant de ses avantages avérés pour l’écologie du sol, la séquestration de carbone et son adoption massive dans quelques régions du monde, elle est présentée par ses promoteurs comme un système durable convenant à tous contextes. Dès lors elle a été mondialement diffusée au nom du développement durable.
Les notions de services environnementaux et de services écosystémiques (SE) ont connu un rapide engouement au cours de la dernière décennie et sont à l’origine de nouveaux instruments pour faire face à divers problèmes environnementaux, notamment la déforestation : les dispositifs de Paiements pour Services Environnementaux (PSE). Néanmoins, l’intégration du concept dans les politiques publiques reste un processus rare.
The Agriculture Technology Program for Turkmenistan (AgTech), funded by USAID and implemented by Weidemann Associates, Inc., aims to increase and develop private enterprises, and improve productivity of private, small and household farms. The project has two key components: the improvement of genetics, education and organization as a means of increasing the incomes of private agribusiness involved in livestock; skills building for private producers, processors and marketers of fruits and vegetables.
The Agriculture Technology Program for Turkmenistan (AgTech) takes a comprehensive approach to agricultural development in Turkmenistan by implementing high-impact activities in the livestock and greenhouse horticulture sectors to achieve the two objectives: improve genetics, education and organizations for private livestock producers; introduce successful agribusiness practices.
The Agriculture Technology Program for Turkmenistan (AgTech) takes a comprehensive approach to agricultural development in Turkmenistan by implementing high-impact activities in the livestock and greenhouse horticulture sectors to achieve the two objectives: improve genetics, education and organizations for private livestock producers; introduce successful agribusiness practices.
The Agriculture Technology Program for Turkmenistan (AgTech) takes a comprehensive approach to agricultural development in Turkmenistan by implementing high-impact activities in the livestock and greenhouse horticulture sectors to achieve the two objectives: improve genetics, education and organizations for private livestock producers; introduce successful agribusiness practices.
Cet article aborde la mise en place d’un projet d’agroforesterie villageoise, pour la gestion intégrée des ressources naturelles, dans le hameau de Duale Mitterrand (52 ménages) situé sur le plateau des Batéké (République démocratique du Congo). Il repose sur un travail de terrain effectué entre février et mai 2012 dans le cadre du mémoire de fin d’études du master en sciences et gestion de l’environnement de l’Université Libre de Bruxelles (ULB).
Du fait de leur transversalité et de leur objet, l'évaluation des politiques de développement territorial ne peut pas s'appuyer sur les outils utilisés pour évaluer les politiques sectorielles. Les questions procédurales sont très largement dominantes, les dispositifs portant essentiellement sur la gouvernance et la coordination. Pour évaluer une démarche procédurale, il convient de préciser le référentiel d’évaluation à la fois en termes du quoi et du comment évaluer.