This document is intended to serve as a resource for assessing capacity needs in a project or programme. A capacity needs assessment (CNA) is a process for identifying a project’s perceptions (through staff, partners and stakeholders) on various capacity areas that impact the work they do. The process helps identify challenges and opportunities for enhancing key skills thereby enhancing the project’s ability to achieve its objectives. The overall goal of a CNA is to determine the gap between required and existing capacities.
This blended learning program lead by ILRI draws on the practice briefs, the workshop experience and materials from partners including IITA, Wageningen University, ICRAF and FARA. It comprises an online component of 14 modules and a 3-day workshop. The final component of the course is a face-to-face workshop which provides learners with opportunities to apply their newly acquired knowledge to the challenges of their own platform or that of their peers. The workshop features role plays and collaborative group work based on actual scenarios.
Agenda:
Introduction to CCAFS and CGIAR: Why food loss and waste? - Lini Wollenberg
The Food Loss and Waste Calculator and how it can be used to mitigate climate change - Jan Broeze
Understanding Smallholder Farmers’ Post-Harvest Behaviors: Evidence from Malawi - Tabitha Nindi
Effects of Amending Soil with Organic Matter on Population Change of Aspergillus flavus and Antagonistic Microbiome: and on Aflatoxin Contamination of Groundnut in Malawi - Norah Machinjiri
Lors de l'intervention d'une plate-forme d'innovation (groupe d'acteurs concernés) dans un domaine donné, nous avons tendance à attribuer les causes du changement aux actions de cette plate-forme. Cet article utilise le cas d'une plate-forme d'innovation dans le secteur du karité au Mali pour analyser comment les plates-formes d'innovation produisent les résultats escomptés.
Ce texte présente les premiers résultats d’une étude sur la contribution de groupes d’agriculteurs familiaux aux processus d’innovation dans trois municipes de la Paraíba (Brésil). L’objectif consistait à identifier le rôle des producteurs et de leurs organisations en matière d’introduction et d’adaptation de techniques agricoles.
De nombreux agriculteurs africains pratiquent des formes d'agriculture potentiellement qualifiables de "?biologiques?". Pourtant, la capacité de l'agriculture biologique à répondre aux enjeux de la sécurité alimentaire en Afrique est encore mal connue, car il existe peu de références expérimentales disponibles dans cette région. L'élicitation probabiliste est une méthode permettant de rendre compte de manière précise des connaissances d'experts sur une ou plusieurs quantités d'intérêt, et de décrire les niveaux d'incertitude associés.
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.
L’eau d’irrigation est une ressource cruciale pour le développement économique et social en Tunisie. Dans un contexte de décentralisation et de délégation du rôle de l’État, une part importante de la gestion de cette eau d’irrigation a été confiée aux groupements de développement agricole (GDA). Ces groupements souffrent cependant d’un manque de reconnaissance de la part des usagers, qui se manifeste essentiellement par un faible consentement de leur part à payer les redevances.
Confrontés aux évolutions des enjeux et modèles de développement touchant les secteurs de l’agriculture et de l’alimentation, les organismes de recherche interrogent les méthodes d’évaluation des impacts liées aux activités de recherche. En effet les cadres méthodologiques conventionnels utilisés depuis les années 1950 ne répondent plus aux attentes sociétales et aux réalités de l’activité de recherche dans ce domaine.
Le conseil agricole occupe une place prépondérante dans l’appui aux processus d’innovation, particulièrement dans les pays du Sud. Or, l’accompagnement de l’innovation nécessite une diversité de formes d’appuis, appelés services support à l’innovation (SSI). À partir d’une analyse exploratoire à Madagascar, cet article questionne la place du conseil agricole vis-à-vis de la diversité des organisations et des activités d’accompagnement de l’innovation.