Despite increasing interest and support for multi-stakeholder partnerships, empirical applications of participatory evaluation approaches to enhance learning from partnerships are either uncommon or undocumented. This paper draws lessons on the use of participatory self-reflective approaches that facilitate structured learning on processes and outcomes of partnerships. Such practice is important to building partnerships, because it helps partners understand how they can develop more collaborative and responsive ways of managing partnerships.
The Community Based Participatory Monitoring and Evaluation (CB-PME) tool empowers poor local farming communities to improve their livelihoods. While this process is people centred, it draws on local people’s capacities, while giving the end users of a technology a voice. The experience of the Katamata farmers’ group in Tororo district using PM&E (the participatory approach to monitoring and evaluation) is given in this paper.
Rural advisory services (RAS) can play an important role in addressing gender inequalities. However, RAS programmes have often fallen short of expectations to design and implement relevant services to help rural women and men achieve food security and generate more income. This paper is based on an examination of a broad selection of existing literature on gender-sensitive RAS. It looks at gender-differentiated barriers in access to RAS and challenges of effectively targeting women family farmers when delivering these services.
Les grandes exploitations agricoles créées dans le cadre de la loi de mise en valeur agricole de 1983 dans le Sahara algérien étaient vouées à une production céréalière sous pivot. L’objectif était de développer économiquement des régions sahariennes pour partie marginalisées, ainsi que de réduire la dépendance chronique en céréales du pays. L’État a considérablement investi pour équiper ces exploitations agricoles dans le cadre d’un vaste plan de développement rural. Mais trente ans après la parution de la loi, les réalisations demeurent limitées au regard des objectifs initiaux.
Le Touat-Gourara-Tidikelt est un très vaste espace, qui occupe près du quart la superficie du Sahara algérien. Il fait partie intégrante de la zone la plus aride du monde, aux contraintes naturelles particulièrement difficiles. Cet espace connu comme le « Pays des foggaras » était savamment exploité, depuis plus d’un millénaire, par les oasiens qui profitaient de la dynamique économique impulsée par le commerce transsaharien.
L’exploitation agricole familiale des oasis occidentales du Sahara algérien évolue dans un contexte de difficultés lié au déclin des ressources en eau (amenée par les galeries des foggaras) au faible revenu tiré de l’agriculture et à la diversification des activités, au profit de celles non agricoles, plus rémunératrices. À ces facteurs s’ajoutent les effets d’une atomisation de la propriété agricole oasienne, due à l’indivision foncière en rapport avec l’accroissement démographique.