Sustainable intensification of smallholder farming is a serious option for satisfying 2050 global cereal requirements and alleviating persistent poverty. That option seems far off for Sub-Sahara Africa (SSA) where technology-driven productivity growth has largely failed. The article revisits this issue from a number of angles: current approaches to enlisting SSA smallholders in agricultural development; the history of the phenomenal productivity growth in the USA, The Netherlands and Green Revolution Asia; and the current framework conditions for SSA productivity growth.
Most cocoa farmers in Ghana do not adopt research recommendations because they cannot afford the cost, therefore, yields are low. Integrated pest management (IPM) technologies that rely on low external inputs were tried with a group of farmers. The technologies included using aqueous neem seed extracts to control capsids; removing diseased pods to reduce blackpod incidence; controlling mistletoes, epiphytes, weeds; and managing shade. Although yields increased significantly, adoption was constrained by technical, social and economic factors.
This publication provides a collection of papers, commentaries, expert opinions and reflections on state-of-the-art innovation systems thinking and approaches in agriculture. It is the direct output of a CTA and WUR/CoS-SIS collaboration which had its genesis in an expert consultation on ‘Innovation Systems: Towards Effective Strategies in support of Smallholder Farmers’.
Au cours des vingt dernières années, l’évolution des politiques économiques au Nord comme au Sud a été marquée par la mise en place de processus de libéralisation. Selon les contextes institutionnels, la libéralisation peut prendre des formes très contrastées. Au Costa Rica, suite à l’adhésion du pays à l’OMC, la libéralisation de la filière haricot a été très marquée, du fait d’une protection tarifaire basse, alors que celle de la filière lait n’a pas été effective, du fait d’une protection tarifaire élevée, notamment.
Nous étudions le processus de transfert politique selon lequel les idées et valeurs du développement durable, mûries et véhiculées au niveau international, donnent lieu au niveau national à une recomposition des modes publics d’intervention en milieu rural. Au Mali et à Madagascar, les politiques de développement durable recouvrent des expressions différentes. Nous interprétons ces différences par une analyse comparative des stratégies des acteurs intervenant dans le jeu politique. Nous montrons que ces stratégies renvoient à des processus historiques.
Les organisations de producteurs agricoles sont souvent considérées comme un moyen de permettre un meilleur accès des producteurs aux marchés agricoles. Notre étude montre que cette affirmation n’est valable que dans le cas de filières présentant des caractéristiques techniques relativement complexes, nécessitant une coordination entre producteurs et opérateurs aval pour la commercialisation. Dans le cas de filières à caractéristiques techniques plus simples, la coordination par le marché permet un accès facile des petits producteurs.