Sustainable intensification of smallholder farming is a serious option for satisfying 2050 global cereal requirements and alleviating persistent poverty. That option seems far off for Sub-Sahara Africa (SSA) where technology-driven productivity growth has largely failed. The article revisits this issue from a number of angles: current approaches to enlisting SSA smallholders in agricultural development; the history of the phenomenal productivity growth in the USA, The Netherlands and Green Revolution Asia; and the current framework conditions for SSA productivity growth.
This paper takes the viewpoint of a social scientist and looks at agricultural scientists' pathways for science impact. Awareness of these pathways is increasingly becoming part and parcel of the professionalism of the agricultural scientist, now that the pressure is on to mobilize smallholders and their productive resources for (global) food security and for reducing persistent rural poverty. Significant new thinking about pathways is emerging and it is useful to present some of this, even if it is not cut-and-dried.
This publication provides a collection of papers, commentaries, expert opinions and reflections on state-of-the-art innovation systems thinking and approaches in agriculture. It is the direct output of a CTA and WUR/CoS-SIS collaboration which had its genesis in an expert consultation on ‘Innovation Systems: Towards Effective Strategies in support of Smallholder Farmers’.
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.
Le semis direct est un système de production fondé sur le non-travail du sol. Il intègre une série de pratiques agricoles qui permettent de protéger les sols cultivés de l’érosion, de réduire les consommations de carburants, voire d’augmenter les rendements. Le large succès du semis direct au Brésil, contribue à la compétitivité et à la forte croissance de ses productions tout en préservant les sols. Le système complet du semis direct sous couvert est fondé sur trois principes : le non-labour, la couverture permanente du sol et des rotations culturales.
Au Brésil, la diffusion du modèle de gestion intégrée des ressources en eau varie fortement selon l’environnement socio-territorial. Le Sud présente un dynamisme certain s’appuyant sur des initiatives locales. Les acteurs locaux sont organisés en comité de bassin et développent des actions pour améliorer la gestion des ressources. Dans le Nordeste, la marche vers ces nouveaux modes de gestion paraît difficile tant les inerties sociales et culturelles freinent un partage réel du pouvoir, des ressources et des coûts.