En Afrique, 45% du territoire est situé dans des régions où l’agriculture pluviale est fragilisée par les sécheresses récurrentes. Au Burkina Faso, la dégradation des sols peut être limitée grâce à la technique du Zaï, technique manuelle traditionnelle très exigeante en main d’œuvre (300h/ha). La mécanisation de l'opération permet de passer à 40h/ha. L’amélioration de la technique touche aujourd’hui plusieurs centaines de fermes et d’artisans dans une vingtaine de villages du nord du Burkina Faso.
Objective
The association between farm production diversity and dietary diversity in rural smallholder households was recently analysed. Most existing studies build on household-level dietary diversity indicators calculated from 7d food consumption recalls. Herein, this association is revisited with individual-level 24 h recall data. The robustness of the results is tested by comparing household- and individual-level estimates. The role of other factors that may influence dietary diversity, such as market access and agricultural technology, is also analysed.
Farm input subsidies are often criticised on economic and ecological grounds. The promotion of natural resource management (NRM) technologies is widely seen as more sustainable to increase agricultural productivity and food security. Relatively little is known about how input subsidies affect farmers’ decisions to adopt NRM technologies. There are concerns of incompatibility, because NRM technologies are one strategy to reduce the use of external inputs in intensive production systems.
Cet article analyse un processus d’innovation dans la filière arachide au Sénégal entre 1999 et 2016. L’accent porte sur la mise en évidence des facteurs décisifs dans l’émergence d’un nouveau réseau de coopératives semencières au Sénégal sous l’impulsion de l’organisation de producteurs Asprodeb. L’analyse est basée sur la théorie du changement qui accorde une place importante aux relations entre les innovations techniques et leur contexte politique et social.