Les grandes exploitations agricoles créées dans le cadre de la loi de mise en valeur agricole de 1983 dans le Sahara algérien étaient vouées à une production céréalière sous pivot. L’objectif était de développer économiquement des régions sahariennes pour partie marginalisées, ainsi que de réduire la dépendance chronique en céréales du pays. L’État a considérablement investi pour équiper ces exploitations agricoles dans le cadre d’un vaste plan de développement rural. Mais trente ans après la parution de la loi, les réalisations demeurent limitées au regard des objectifs initiaux.
Le Touat-Gourara-Tidikelt est un très vaste espace, qui occupe près du quart la superficie du Sahara algérien. Il fait partie intégrante de la zone la plus aride du monde, aux contraintes naturelles particulièrement difficiles. Cet espace connu comme le « Pays des foggaras » était savamment exploité, depuis plus d’un millénaire, par les oasiens qui profitaient de la dynamique économique impulsée par le commerce transsaharien.
L’exploitation agricole familiale des oasis occidentales du Sahara algérien évolue dans un contexte de difficultés lié au déclin des ressources en eau (amenée par les galeries des foggaras) au faible revenu tiré de l’agriculture et à la diversification des activités, au profit de celles non agricoles, plus rémunératrices. À ces facteurs s’ajoutent les effets d’une atomisation de la propriété agricole oasienne, due à l’indivision foncière en rapport avec l’accroissement démographique.
This report, drawing on a rapid desk-based review, seeks to outline the potential role of Afican Advisory Services (AAS) in addressing climate change and explores how far AAS in sub-Saharan Africa (SSA) are able to respond to climatic and other pressures. Recommendations are outlined, indicating how AFAAS can help AAS to understand climate change better and become more ‘adaptive’ in their responses
The project case-studies described in this document a range of local-level, mainly donor-funded projects in four countries (Sierra Leone, Benin, Uganda and Mozambique). These projects incorporate climate change in their design and rationale in different ways, but generally base themselves on broad-brush climate trends or climate uncertainty rather than on specific downscaled projections. They also demonstrate a continuum ranging from pure knowledge provision, through breeding, seed supply, input provision and marketing, to provision of hardware and infrastructure, especially in irrigation.
This study addresses this particular research gap by adopting a multi-scale approach to understand how climatic and non-climatic stressors vary, and interact, across three spatial scales (household, community and district levels) to influence livelihood vulnerability of smallholder farming households in the Savannah zone of northern Ghana. This study across three case study villages utilises a series of participatory tools including semi-structured interviews, key informant interviews and focus group discussions.