This paper examines how the different institutional innovations arising from various permutations of linkages and interactions of ARD organizations (national, international advanced agricultural research centres and universities) influenced the different outcomes in addressing identified ARD problems.
The livelihoods of mountain farmers are often constrained by poor access to markets and limited entrepreneurial skills for adding value to produce. Research and development organizations have now recognized that improving market access and enhancing the ability of resource-poor mountain farmers to diversify their links with markets are among the most pressing challenges in mountain agriculture.
There have been repeated calls for a ‘new professionalism’ for carrying out agricultural research for development since the 1990s. At the centre of these calls is a recognition that for agricultural research to support the capacities required to face global patterns of change and their implications on rural livelihoods, requires a more systemic, learning focused and reflexive practice that bridges epistemologies and methodologies.
Climate variability and change threaten and impact negatively on biodiversity, agricultural sustainability, ecosystems, and economic and social structures – factors that are all vital for human resilience and wellbeing. To cope with these challenges, embracing sustainability in food production is therefore essential. Practising sustainable agriculture is one way of ensuring sustainability in pro-poor farming communities in low-income countries.
In Cameroon, women as the primary gatherers and traders of non-timber forest products (NTFPs) have limited access to processing technologies, marketing strategies and market information. The objective of this paper is to explore how CIFOR research and capacity building implemented from 2000 have been perceived by Cameroonian traders. An evaluation of the program took place in 2006 with thirty-eight traders out of seventy-two traders trained. Of the traders initially interviewed, 95 percent of them were women.
C’est en 1954 que les paysans de la Commune rurale de l’Imanan, située dans l’Ouest du Niger, ont commencé la culture de pomme de terre. Partie d’une simple culture d’appoint associée à d’autres spéculations, la production de pomme de terre fait maintenant partie intégrante des systèmes de productions locaux. C’est la principale stratégie adaptative des paysans pour faire face aux crises alimentaires.
Une étude de terrain portant sur les effets de l’application du second pilier de la PAC en France révèle un lien étroit entre de nouvelles formes juridiques d’exploitation et l’évolution du statut des femmes dans la profession agricole. En effet, après n’avoir longtemps été que des « épouses d’agriculteurs », celles-ci sont devenues « agricultrices » à part entière. L’analyse des entretiens réalisés dans six territoires ruraux représentatifs des enjeux nationaux montre que le développement de ces exploitations sociétaires (GAEC, EARL, CUMA) donne davantage de visibilité au travail féminin.
La publication de ce numéro double consacré à l’agriculture familiale marque un tournant de l’histoire de la revue Défis Sud. Depuis vingt ans, votre revue a resserré son projet éditorial sur les questions agricoles et de développement rural.
Face aux limites du système agro-industriel productiviste, des résistances et des alternatives positives proposent de nouvelles façons de penser et de pratiquer l’agriculture.
Le président Macky Sall veut mettre en pratique une série de réformes inclusives qui permettraient au Sénégal d’allier à la fois les « bienfaits de l’agrobusiness » et de l’agriculture paysanne. La balle est dans le camp des sociétés civiles et des organisations paysannes qui doivent saisir la chance d’orienter les politiques agricoles de leur pays. Si elles manquent cette opportunité, le gouvernement sénégalais risque de favoriser l’agrobusiness classique.