Le document de synthèse fournit une synthèse des concepts et des principes du cadre commun développé dans le cadre de la Plate-forme pour l'agriculture tropicale (TAP). L'objectif du Cadre Commun de la TAP est de promouvoir une meilleure cohérence et un impact plus fort du renforcement des capacités (RC) en soutien aux systèmes d'innovation agricole (AIS) sous les tropiques. Développé en 2015 à travers un processus hautement participatif, il a été convenu que le Cadre devrait fournir des bases conceptuelles et des indications pratiques.
La «Note d'Orientation sur l'Opérationnalisation» récapitule brièvement les fondements conceptuels et les principes du Cadre commun de travail pour le renforcement des capacités des systèmes d'innovation agricole et fournit également un guide détaillé de l'opérationnalisation de l'approche à Double Entrée du renforcement des capacités (RC) pour les systèmes d'innovation agricole (SIA). Le document offre aussi une stratégie de suivi et d'évaluation ainsi qu'une Boîte à Outils d'outils sélectionnés qui peuvent être utiles aux différentes étapes du RC pour les SIA.
Ce document examine les approches suivies actuellement en ce qui concerne le renforcement des capacités commerciales dans les pays africains. Ce but est de:
Identifier des mécanismes permettant de promouvoir un processus de formulation de la politique commerciale de type participatif et de l’intégrer dans les stratégies nationales de développement et de lutte contre la pauvret.
Etudier le rôle que pourraient jouer les donneurs en facilitant et en soutenant le processus d’élaboration de la politique commerciale.
Le présent document a reconnu l’existence d’un consensus international croissant au sujet de l’importance de l’objectif de renforcement des capacités et de la façon dont il a des chances d’être réalisé. L’accent a été mis sur la reconnaissance du fait que le renforcement des capacités est un processus endogène, sur l’importance de l’appropriation des politiques nationales qui en résulte, et sur la nécessité pour les donneurs de se limiter à encourager et à soutenir les efforts du pays.
Ce document offre un cadre de réflexion sur le renforcement des capacités, établi à partir des principaux enseignements tirés de l’expérience, qu’elle soit positive ou négative.
Cet article aborde la mise en place d’un projet d’agroforesterie villageoise, pour la gestion intégrée des ressources naturelles, dans le hameau de Duale Mitterrand (52 ménages) situé sur le plateau des Batéké (République démocratique du Congo). Il repose sur un travail de terrain effectué entre février et mai 2012 dans le cadre du mémoire de fin d’études du master en sciences et gestion de l’environnement de l’Université Libre de Bruxelles (ULB).
Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
L’objectif de ce travail est de proposer un plan de formation des différents catégories d'acteurs (à identifier) dans le but d'apporter une contribution significative au renforcement de capacité dans chaque pays et dans la sous-région. Des actions précises visant à permettre aux acteurs de lever les éventuels blocages institutionnels devront accompagner ce processus de renforcement des capacités, notamment en ce qui concerne la négociation, le lobbying, la mise en réseau etc.
Les résultats attendus de ce travail sont :
Pendant des décennies, la faiblesse des investissements publics dans l’agriculture a laissé les agriculteurs extrêmement vulnérables face à l’instabilité des prix, aux crises climatiques et économiques, et sans moyen pour sortir de la pauvreté. Les bailleurs de fonds et les gouvernements doivent concevoir le soutien à l’agriculture comme partie intégrante de la solution à long terme aux crises alimentaires, financières et climatiques.
La crise alimentaire mondiale de 2008 a bien évidemment également touché l’Afrique de l’ouest et l’une de ses filières phares : le riz. Cette crise a incité les États et les institutions régionales à mettre en oeuvre des mesures visant à améliorer la production et l’offre locales de riz.